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Trump et Macron multiplient les gestes d’affection

Lors d'une visite d'État à la Maison Blanche, à Washington, le 24 avril 2018, Emmanuel Macron et Donald Trump ont multiplié les gestes d'affection, affichant ce que les Américains appellent une «bromance». Embrassades, accolades, regards complices : les chefs d'Etat se sont montrés particulièrement proches. Sur cette photo, Donald Trump accueille le président français, accompagné de son épouse Brigitte Macron. [JIM WATSON / AFP]
Les deux dirigeants, dans un éclat de rire, saluent la foule depuis un balcon lors d'une cérémonie de bienvenue à la Maison Blanche. [Nicholas Kamm / AFP]
Emmanuel Macron embrasse Donald Trump lors du discours de bienvenue à la Maison Blanche. [JIM WATSON / AFP]
La cérémonie de bienvenue est très chaleureuse entre les deux hommes, très tactiles. [BRENDAN SMIALOWSKI / AFP]
Tout sourire, les présidents sont prêts à passer dans le bureau ovale de la Maison Blanche. [BRENDAN SMIALOWSKI / AFP]
Donald Trump entraîne Emmanuel Macron vers le bureau ovale. [Ludovic MARIN / AFP]
Poignée de main chaleureuse entre les deux présidents dans le bureau ovale. [Crédit Brendan Smialowski / AFP]
Main sur la cuisse, yeux dans les yeux, Macron et Trump sont toujours plus proches. [Ludovic MARIN / AFP]
Toujours aussi prévenant, Donald Trump élimine les pellicules de la veste d'Emmanuel Macron dans le bureau ovale. [Ludovic MARIN / AFP]
Nouvelle poignée de main chaleureuse entre Trump et Macron. [Brendan Smialowski / AFP]
Donald Trump et Emmanuel Macron se serrent la main et s'embrassent lors de leur conférence de presse conjointe à la Maison Blanche. [LUDOVIC MARIN / AFP]
L'accolade semble sincère entre les deux présidents, qui s'entendent comme larrons en foire. [Ludovic MARIN / AFP]
Tels deux frères prêts à faire un «check», Macron et Trump affichent leur complicité évidente. [Ludovic MARIN / AFP]
Mains dans les mains, Donald Trump et Emmanuel Macron ne se quittent plus. [Ludovic MARIN / AFP]
Les rapports entre les deux dirigeants seront-ils toujours au beau fixe ? [Ludovic MARIN / AFP]