Les produits reconditionnés séduisent de plus en plus. La start-up Back Market s'est lancée sur ce marché prometteur, proposant smartphones, tablettes, ordinateurs, télévisions, et produits électroménagers reconditionnés par des professionnels certifiés.
En partenariat avec 
Apple, Samsung, Whirlpool, Sony… On retrouve les plus grandes marques sur son site. Back Market arrive à s’imposer dans ce marché en travaillant avec plus de 200 usines et ateliers français certifiés. Une touche «made in France» et des prix très attractifs (allant de 30% à 70% moins cher que le neuf), qui séduisent les consommateurs.
Lancé en novembre 2014 par trois amis, Back Market a pour objectif de faire en sorte que le consommateur soit aussi confiant en achetant du reconditionné qu’en achetant du neuf. Une garantie pouvant aller jusqu’à 18 mois est ainsi comprise dans le service.
Pour offrir la meilleure expérience à ses clients, ainsi que des produits de qualité, la plate-forme a misé sur un algorithme unique qui filtre les meilleures offres selon le rapport qualité-prix-service de chaque produit électronique et électrique.
(De gauche à droite) Les fondateurs de Back Market, Thibaud Hug de Larauze , Vianney Vaute et Quentin Le Brouster / Copyright : Back Market
Un marché en pleine expansion
Back Market surfe sur la popularité des produits reconditionnés : en 2016, le marché des smartphones remis à neuf était estimé à 13,8 milliards d’euros. La même année, en France, près de 2 millions de téléphones vendus étaient reconditionnés.
En plus de l’évolution croissante de ce marché, les produits reconditionnés contribuent à préserver la planète. Alors que chaque Français produit en moyenne 22 kilogrammes de déchets technologiques par an, le reconditionnement permet de limiter l'impact écologique des produits high-tech et électroménagers.
Back Market s'inscrit également dans une logique d'économie circulaire : la plateforme propose un service de rachat des smartphones des particuliers par des marchands certifiés. L'internaute peut évaluer le prix de vente de son smartphone d'occasion en fonction de plusieurs critères établis par la start-up, puis il peut accepter ou non les offres proposées par les marchands. Au total, C’est l’économie de plus de 300 tonnes de déchets électroniques qui a été permise grâce à la startup, depuis son lancement en 2014.