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«Point Break» : les cinq répliques cultes du film

Ce succès au box-office, qui a permis à l'acteur Keanu Reeves (à gauche) de connaître la gloire, a récolté plus de 70 millions d'euros de recettes. [(C) 20th Century Fox]

Sorti en 1991, «Point Break» connaît un remake dévoilé aujourd'hui dans les salles françaises. L'occasion de revenir sur les répliques incontournables du film de Kathryn Bigelow qui réunissait à l'écran le duo Patrick Swayze-Keanu Reeves.

«Le surf c’est la source, ça vous change une vie»

Sa mission: infiltrer un groupe de surfeurs soupçonnés d'être «le gang des ex-présidents», à l'origine de nombreux braquages de banques. La jeune recrue du FBI, Johnny Utah, alias Keanu Reeves, est prévenue. Pour intégrer la communauté, cet ancien joueur de football américain doit vouer un culte au surf. Et ce n'est pas Brice de Nice qui dira le contraire.

«Laisse moi juste une vague»

Alors qu'il sait qu'il est pris au piège par des dizaines de flics et qu'il va se retrouver rapidement derrière les barreaux, Bodhi Salver (Patrick Swayze) demande à son flic et désormais pote Johnny de lui retirer ses menottes et de le laisser aller surfer une dernière fois. Une requête qui lui sera accordée.

«Ouvre le parachute !»

Montée d'adrénaline garantie quand les deux héros sautent d'un avion en chute libre. Alors qu'il vient de révéler sa véritable identité, Johnny poursuit dans les airs le surfeur et arnaqueur Bodhi. Ce dernier lui fait croire qu'il n'a pas de parachute, avant de l'ouvrir quelques mètres seulement avant de s'écraser sur le sol.


Point Break (1991) - 3 - par Sebmagic

«J'ai choppé une déferlante d'enfer ce matin, chef»

Réponse de Johnny à la question de son supérieur : «Est-ce que l'un d'entre vous a un semblant d'information concrète à me soumettre ?». Pas certain que cette excuse suffira pour justifier son retard auprès de sa hiérarchie...

«Ce système tue la spiritualité et transforme l'océan en fosse septique»

Au-delà d'aimer attendre la vague, Bodhi défend aussi sa piste de jeu qu'est l'océan. Son discours face à ses amis reste l'un des moments inoubliables du film. Dans «Point Break», les écologistes partaient déjà au combat contre la pollution des mers. On oubliera alors que Bodhi et ses copains éclairent la plage avec les phares de leurs pick-up. Pas très «Cop 21».

 

 

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