Contrairement à ce que son nom indique, l’origine du nom de cette station, mise en service en 1922 sur la ligne 9, n’a rien à voir avec le monde floral.
Cette dénomination fait référence au poète gascon Jacques Boé, dit Jasmin (1798-1864), dont une rue proche porte le nom.
Ce perruquier récitait des vers en occitan à ses clients, en imprégnant les cheveux de ces derniers de lotion au jasmin.
Il a été rendu célèbre grâce à l’écrivain Charles Nodier, alors conservateur à la bibliothèque de l’Arsenal (4e).