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«Antoinette dans les Cévennes», «J’irai mourir dans les Carpates», «Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait» : voici les 3 films à voir ce mercredi 16 septembre

Max Boublil et Alice Pol sont tous les deux à l'affiche de «J'irai mourir dans les Carpates». [© Rouge International - Bonne Pioche Cinéma - France 2 Cinéma - BNP Paribas Pictures - Apollo Films - 2020]

La comédie «Antoinette dans les Cévennes» avec Laure Calamy, la première fiction d’Antoine de Maximy «J’irai mourir dans les Carpates», et le drame «Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait»…Voici les trois longs-métrages à découvrir au cinéma à partir du mercredi 16 septembre.

«Antoinette dans les Cévennes», de Caroline Vignal

Un singulier périple. Dans la comédie «Antoinette dans les Cévennes», la pétillante Laure Calamy tient son premier «premier rôle». La comédienne, découverte dans la série «Dix pour cent», y incarne une jeune femme en mal d’amour qui s’aventure avec son âne sur le GR 70. Pourtant, la marche, Antoinette n’y connaît rien. Aux chaussures de randonnée, cette professeur des écoles préfère les tenues affriolantes. Elle décide à la dernière minute de partir découvrir les chemins des Cévennes après que son amant (Benjamin Lavernhe) lui annonce qu’il doit parcourir la région, en famille, avec un âne… Mais cette expédition s’annonce plus compliquée que prévu quand elle se retrouve en tête-à-tête avec Patrick… un âne un brin têtu. Une comédie drôle, fraîche et touchante qui donne envie de prendre son baluchon pour une introspection en pleine nature.

«J’irai mourir dans les Carpates», d’Antoine de Maximy

Les téléspectateurs le connaissent bien. Grâce à son émission «J’irai dormir chez vous», Antoine de Maximy est devenu depuis une quinzaine d’années l’explorateur-squatteur le plus célèbre du PAF, lui qui, armé d’un sacré culot et de petites caméras portatives, sillonne la planète en quête de rencontres et surtout à la recherche d’un toit. L’homme à la chemise rouge a choisi de s’inspirer de son expérience pour sa première comédie, J’irai mourir dans les Carpates. L’histoire suit une monteuse qui, après la disparition d’Antoine de Maximy lors d’un tournage dans une région montagneuse, décide de finaliser le dernier épisode, mais découvre, au fur et à mesure du montage, des détails troublants à propos de cet accident. L’enquête sera possible grâce aux quarante heures de rush de l’animateur, donnant à l’œuvre un rendu parfois quasi documentaire. Cette fiction n’aurait jamais vu le jour sans la plate-forme de financement participatif KissKissBankBank, qui a permis de récolter les fonds nécessaires. Le réalisateur a aussi pu s’appuyer sur les talents comiques d’Alice Pol et Max Boublil.

«Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait», d’Emmanuel Mouret

Des passions contrariées. Enceinte, Daphné (Camélia Jordana) profite de vacances à la campagne avec son compagnon François (Vincent Macaigne). Alors qu’il s’absente, elle rencontre pour la première fois son cousin Maxime (Niels Schneider). Chacun va raconter ses histoires d’amour passées, entre désirs, trahisons et secrets.

«J’aimerais que ce film soit une ode à notre inconstance. A une époque où nous sommes constamment appelés à être cohérents, à mettre en rapport nos paroles et nos actes, je prends le parti de la douceur et de l’indulgence plutôt que celui de l’accusation», explique le réalisateur Emmanuel Mouret, auteur de «Mademoiselle de Joncquières» (2018).

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