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Eric Clapton s'oppose aux mesures anti-covid avec son titre « Il faut que ça s’arrête »

[KEVIN WINTER / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP]

Trop, c'est trop, selon Eric Clapton. Confinement, vaccination, crise sanitaire... Le guitariste star fait part de son ras-le-bol dans un titre dévoilé vendredi 27 août.

Et l'artiste de 76 ans semble excédé, comme le laisse entendre le titre de cette chanson baptisée «Il faut que ça s'arrête».

«Cela doit cesser, trop c'est trop, je ne peux plus supporter ces conneries. Ceci est allé assez loin comme ça, si vous voulez vous emparer de mon âme, vous allez devoir forcer cette porte », reprend ainsi Eric Clapton en refrain de cette chanson blues de plus de quatre minutes. 

Un clip et des paroles sans ambiguité

Des mots mis en images, dans un clip qui en dit long sur l'état d'esprit d'Eric Clapton. A travers ces images d'animation, le chanteur n'hésite pas à critiquer avec véhémence la gestion de la crise. Il met ainsi en scène des dirigeants anonymes, manipulant leurs concitoyens. Des concitoyens, qu'il compare à des marionnettes ou dessinés, comme hypnotisés, faisant la queue pour accéder à ce qui pourrait être un vaccinodrôme.

Visiblement exaspéré par les mesures prises comme les méthodes, le guitariste critique par ailleurs le matraquage médiatique que subissent selon lui les citoyens, affichant noir sur blanc son point de vue : « I am for freedom» [Je suis pour la libérté, Ndlr].   

Eric Clapton récidive

Ce n'est pas la première fois qu'Eric Clapton prend partie contre les mesures prises par les gouvernements. En duo avec Van Morrison, il avait sorti à la fin de l'année 2020 un titre qui s'opposait au confinement : «Stand and deliver». Les fonds récoltés avait été redistribués à une association venant en aide aux musiciens, privés de leur métier et de concerts en raison de la crise.

Il s'est également déclaré contre le pass sanitaire. Alors qu'il doit se produire en septembre, il a expliqué cet été qu'il refuserait de jouer devant un public qui serait «discriminé», rapporte France Info. 

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