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«Blue Monday» : ces 5 chansons déprimantes qui font pleurer

On n'oubliera pas de garder une boîte de mouchoirs et une tablette de chocolat à proximité. [©Adobe]

En ce lundi 15 janvier, on fête le «Blue Monday», soit le jour le plus déprimant de l'année. À cette occasion, et parce que s'autoriser à pleurer ça fait du bien, voici cinq chansons déprimantes à écouter.

«True love Waits», de Radiohead

Selon une étude très sérieuse menée en 2017 par le mathématicien Charlie Thompson, ce morceau serait le plus déprimant et le plus triste de la discographie de Radiohead. Elle évoquerait la relation entre le chanteur Thom Yorke et sa compagne, l’artiste Rachel Owen, avec qui il a eu deux enfants et qui est décédée en 2016 des suites d’un cancer, à seulement 48 ans.

«Avec le temps», de Léo Ferré

«Avec le temps, va, tout s'en va/On oublie le visage et l'on oublie la voix/Le cœur quand ça bat plus/C'est pas la peine d'aller/Chercher plus loin, faut laisser faire/Et c'est très bien». Impossible de ne pas pleurer en écoutant les paroles de ce titre sorti en 1972 qui est devenu depuis un monument de la chanson française. Le temps qui tue l’amour… on ne s’en lasse pas.

«Someone like you», d’Adele

On ne peut que sortir les mouchoirs quand l’artiste reprend ce morceau extrait de son album «21», qui lui a valu de nombreuses récompenses et une renommée internationale. Sur une rythmique mélancolique portée par quelques accords au piano, Adele parle de sa séparation et combien il est difficile pour elle de passer à autre chose. Dans le clip en noir et blanc, on suit la Britannique errer dans Paris comme une âme en peine.

«Hallelujah», de Jeff Buckley

Si le chanteur et musicien américain s’est éteint il y a vingt-trois ans, sa reprise en 1994 du tube de Leonard Cohen - lui-même retravaillé par John Cale des Velvet Underground - reste dans la mémoire collective. Quelques secondes suffisent pour que l’on ressente des frissons et qu’une certaine mélancolie nous envahisse.

«Le temps qui reste», de Serge Reggiani

Sur cette chanson mélancolique, Serge Reggiani ne s'intéresse pas à la mort qui le guette, mais clame fort son amour pour la vie, pour ce temps qui reste pendant lequel il pourrait «rire, courir, pleurer, parler, voir, croire, boire, danser, crier, manger, nager, bondir, désobéir». Un hymne à l’amour aussi qui sert de générique au film «Deux jours à tuer» de Jean Becker.

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