Le père de Beyoncé vole au secours de sa fille, critiquée par la communauté LGBT+ à la suite de son concert, samedi 21 janvier à Dubaï, où l’homosexualité est passible d’emprisonnement.
Mathew Knowles tente d’éteindre le feu. Alors que Beyoncé fait l'objet de critiques pour avoir donné son premier concert en quatre ans à Dubaï, pays ouvertement anti LGBT+, il a rappelé que sa fille avait «toujours défendu l'inclusivité». Interrogé par TMZ, le patriarche, premier manager de Beyoncé dans les années 1990, a par ailleurs précisé «qu'elle ne ferait jamais quelque chose pour blesser délibérément quelqu'un».
A propos du concert privé en lui-même, le producteur de 71 ans a également noté : «Queen B a réuni une foule très diversifiée avec son incroyable performance à l'étranger, rapprochant les gens, comme elle sait si bien le faire».
Plusieurs voix se sont levées après le concert donné par la star de 41 ans à l'occasion de l'inauguration de l'hôtel Atlantis Royal, à Dubaï. Elles ont fait part de leur colère et de leur incompréhension, alors même que le dernier album de la star «Renaissance», sorti en juillet dernier, a été inspiré par la culture queer, à laquelle la star a été initiée par son oncle gay Jonny, figure marquante de la vie de Beyoncé, et décédé il y a plusieurs années après son combat contre le sida.
Le père de la star a part ailleurs évoqué la future tournée de sa fille, baptisée «Renaissance tour», dont les dates exactes sont pour l'instant encore inconnues. «Elle l'annoncera quand elle sera prête», a précisé ce dernier.