L'avocat de Tariq Ramadan a annoncé, ce jeudi 15 novembre, que la cour d'appel de Paris avait ordonné le jour-même la mise en liberté sous contrôle judiciaire de son client, incarcéré depuis le 2 février dernier pour des viols qu'il conteste.
La libération de l'islamologue suisse de 56 ans est soumise au versement d'une caution de 300.000 euros, a précisé l'avocat Emmanuel Marsigny.
Tariq Ramadan, qui doit remettre son passeport suisse, a interdiction de quitter le territoire, d'entrer en contact avec les plaignantes et certains témoins. Il devra pointer au commissariat une fois par semaine.