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Vanessa Burggraf quitte «On n’est pas couché»

Vanessa Burggraf ne rempilera pas pour une saison 2. [Capture France 2]

Elle devait de nouveau faire partie de l’équipe en septembre, Vanessa Burggraf a finalement décidé de quitter «On n’est pas couché».

La chroniqueuse a fait savoir au Parisien qu’elle ne participera plus au talk-show et qu’elle allait rejoindre, en tant que directrice de la rédaction francophone, la chaîne France 24 qu’elle avait quittée pour France 2.

«C’est ma décision, je ne suis pas poussée dehors», explique au Parisien Vanessa Burggraf. «Mais, il y a trois semaines, la direction de France 24 m’a proposé de prendre la direction éditoriale de la chaîne française. Laurent Ruquier m’a dit de prendre huit jours pour y réfléchir et m’a laissé jusqu’au bout la liberté de rester ou de partir. Mais c’est une belle proposition que je ne pouvais pas refuser car l’actualité internationale est particulièrement intense en ce moment».

Un  «soulagement» après une saison difficile

Depuis ses débuts de chroniqueuse à «On n'est pas couché» en 2016 la chroniqueuse a suscité de nombreuses critiques. Entre autres séquences sujettes à polémiques, celle de son fou rire face à Philippe Poutou ou celle avec Najat Vallaud-Belkacem l’accusant de relayer «des fake-news». Victime d’attaques la journaliste a eu parfois du mal à encaisser. «Laurent Ruquier m’a dit : ‘tu serres les dents et ça passe. Ça dure quelques jours et une autre émission, une autre polémique, prend le relais’(...) On ne m’a pas fait de cadeau, ce sont les règles du jeu. Je les accepte. Quitter Ruquier est mon seul et unique regret».

Le présentateur de l'émission hebdomadaire de France 2, confie que sa chroniqueuse «a beaucoup souffert cette année » et la croit «soulagée de partir». Lui et la productrice Catherine Barma doivent désormais se mettre en quête de la personne qui prendra sa place au côté de Yann Moix. «On va prendre un peu de temps pour y réfléchir. (...) Je suis quasi sûr de recruter une femme», affirme-t-il. J’aimerais bien prendre de la hauteur. Donc plutôt une philosophe, qu’une journaliste. Une Michel Onfray ou Raphaël Enthoven au féminin. Je ne sais pas si ça existe.»

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