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«Nos terres inconnues» revient pour un 2e numéro le 17 septembre

Cécile Bois et Raphaël Lenglet, les deux stars de la série «Candice Renoir» accompagnent Raphaël de Casabianca dans le deuxième numéro de «Nos terres inconnues».[Jean-Michel TURPIN]

Après «Rendez-vous en terre inconnue», Raphaël de Casabianca prend une nouvelle fois le relais de Frédéric Lopez, cette fois pour animer le deuxième numéro de «Nos terres inconnues» diffusé le 17 septembre prochain sur France 2.

L’ex-animateur d’«Echappées belles» embarquent Cécile Bois et Raphaël Lenglet, les deux stars de la série à succès «Candice Renoir» pour une balade au cœur des Alpes, dans le parc naturel régional du Queyras où 28 sommets dépassent les 3.000 mètres d’altitude. C’est là que se trouve Saint-Véran, la commune la plus haute d’Europe perchée à 2.040 mètres.

«Il y a, au cœur des Alpes, un écrin de nature peu connu, qui rappelle les paysages spectaculaires du Népal ou de l’Himalaya. Cette parcelle de France se nomme le Queyras. 2.500 personnes y vivent. C’est à leur rencontre que j’ai décidé de partir. Qui sont-ils ? Pourquoi ont-ils fait ce choix ? À quoi ressemble leur vie au cœur des montagnes ?», lance Raphaël de Casabianca en ouverture de ce deuxième numéro de «Nos terres inconnues».

©Jean-Michel TURPIN

Le trio s’engage dans un périple à la découverte de ce territoire où ils vont multiplier les rencontres, comme Alizée et Valentin, les gardiens d’un refuge, mais aussi Fifi, un agriculteur de montagne et moniteur de ski, et sa femme, Christelle, qui produit un fromage local. Ils passeront également du temps avec John, un musher qui vit pleinement sa passion pour les chiens de traîneau, ou encore Dominique, gardien d’un observatoire des étoiles unique en France située à près de 3.000 mètres d’altitude. Et puis les téléspectateurs vont découvrir les paysages grandioses de la région, avec sa nature époustouflante.

«Je crois qu’après l’ascension (…), la vision du Queyras à nos pieds, c’était quelque chose ! Quand j’en parle, j’en ai encore des frissons ; c’était un vrai moment de partage. Je me suis dit qu’il fallait se souvenir de la beauté du monde tous les jours, qu’elle nous nourrisse. À cet instant, malgré nos expériences différentes, on portait tous le même regard sur ce lever de soleil, et cela nous a transportés», témoigne Raphaël de Casabianca.

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