En direct
A suivre

#FreeBritney : la chanteuse annonce avoir encore beaucoup de choses à dire et son avocat promet des démarches «agressives»

Ses fans plus que jamais prêts à tout pour la «libérer», Britney Spears affirme qu'elle a encore beaucoup à dire sur la tutelle qu'exerce sur elle son père depuis 2008. [VALERIE MACON / AFP]

En lutte pour se défaire de la tutelle de son père, Britney Spears assure avoir encore beaucoup à révéler sur l’affaire, tandis que son nouvel avocat, Mathew Rosengart prend une posture très combative.

«Mon cabinet et moi-même travaillons de manière agressive et rapide afin de déposer une requête visant à démettre Jamie Spears (de ses fonctions), à moins qu’il ne démissionne d’abord», a-t-il déclaré.

«Je veux remercier Britney Spears pour son courage et sa force», a ajouté celui qui a l’habitude de défendre les intérêts des stars, lui qui a déjà représenté Steven Spielberg ou Sean Penn.

« Je tiens également à remercier les fans et les soutiens de Britney Spears », a-t-il ajouté sous les ovations des fans de la chanteuses réunis sous la bannière #FreeBritney (#LiberezBritney) devant le tribunal.

De son côté la chanteuse a de nouveau pris la parole sur Instagram : «J'ai dit dans une récente publication que la vie continue, mais c'est toujours plus facile à dire qu'à faire (...) Nous savons tous que je ne pourrai jamais oublier et tourner la page tant que je n'aurai pas dit tout ce que j'ai à dire... et c'est loin d'être le cas ! On m'a dit pendant si longtemps de garder le silence, et j'ai le sentiment que je ne fais que commencer.»

Le 23 juin dernier la star s’était exprimée pour la première fois devant un tribunal et avait révélé ne plus vouloir «être l’esclave de qui que ce soit». «J’ai dit au monde entier que tout allait bien et que je suis heureuse. C’était un mensonge. J’étais dans le déni. Sous le choc. Je suis traumatisée. Aujourd’hui, je vous dis la vérité : je ne suis pas heureuse. Je ne dors plus. Je suis si énervée que cela me rend folle. Je suis dépressive et j’en pleure chaque soir», avait-elle ajouté avant de préciser que parmi les interdictions qui lui étaient imposées figuraient celle de ne pas avoir d’enfant.«Je veux pouvoir me marier et avoir un bébé. J’ai un stérilet donc je ne peux pas tomber enceinte. Ils ne veulent pas que j’ai un enfant», a-t-elle déclaré, assurant ainsi que son père, s’opposait à sa volonté de retirer sa contraception.

La prochaine audience est prévue ce lundi 26 juillet.

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités