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Qui veut être mon associé ? : Tout savoir sur Anthony Bourbon, le jeune millionnaire de 34 ans

Anthony Bourbon a vécu une enfance difficile. [© Capture d'écran / M6]

Âgé de 34 ans, Anthony Bourbon a fait fortune grâce à sa marque de nutrition Feed. Et il sera un des nouveaux investisseurs à apparaître dans la saison 2 de «Qui veut être mon associé ?» sur M6, qui démarre ce mercredi.

Né à Bordeaux en 1988, Anthony Bourbon révèle avoir grandi au sein d’une famille pauvre, avec un père violent. Quand ses parents divorcent à l’adolescence, le jeune homme doit faire face à la dépression de sa mère, qui lui demande de quitter le foyer. «Je n’ai pas un parcours classique dans ce milieu parce que je viens d’une famille pauvre, mon père était violent et je me suis retrouvé à la rue quand j'avais 16 ans», confie-t-il dans un entretien accordé à Télé Loisirs.

Anthony Bourbon est profondément attristé par la situation, mais aussi révolté par tant d’injustice. «J’ai ressenti beaucoup de haine. L'incompréhension s'ajoutait à une frustration de ne pas comprendre toutes ces injustices que je vivais. Je n'’arrivais pas à maîtriser cette envie de vengeance, de revanche», poursuit-il. Heureusement pour lui, sa route croise celle de Mélanie Der, qui est aujourd’hui son «bras droit» chez Feed. Une rencontre qui va changer sa vie.

«C'est la première fois que quelqu'un m’a renvoyé un regard bienveillant et m’a dit : 'Tu dois réussir, je crois en toi'. Avoir ce regard extérieur m’a permis de focaliser mon énergie sur des choses positives. Maitriser la haine que j’avais à l’intérieur m’a servi de booster», révèle-t-il.

Entrepreneur accompli, jeune trentenaire millionnaire, Anthony Bourbon n’a aucune envie de s’arrêter en si bon chemin. Pour lui, il s’agit de continuer à progresser au même niveau que les meilleures entreprises chinoises ou américaines. Il souhaite également «remettre la méritocratie au coeur de la société française». «Malheureusement en France, aujourd’hui, il y a énormément d’inégalité. 1% des entrepreneurs se sont fait seuls. Mon but, c’est de générer une révolution. Que les gens qui viennent d’en bas puissent reprendre leur destin en main », assure-t-il.

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