Si le scénario du «Grexit» se matérialisait, la question d’une modification des billets en euros pourrait se poser.
En effet, le mot «euro» est écrit en grec («EYPΩ») sur toutes les coupures, une concession faite en 1997 au ministre des Finances grec d’alors, Yannis Papantoniou.
Ce dernier l’avait réclamé lors d’un sommet à Bruxelles, ce qui avait suscité les réticences de l’Allemagne. Mais cela prendrait des années pour changer les billets, le temps que la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales en impriment de nouveaux, et que les coupures actuellement en circulation leur cèdent la place.