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Bactérie «mangeuse de chair» : il meurt quatre ans après avoir été mordu

Hospitalisé durant un mois, il a subi une dizaine d’opérations. Malgré tout, son doigt ne fonctionnant toujours pas correctement, les médecins ont décidé de l’amputer. [Twitter / @ScallywagNYC]

Au Danemark, un homme de 33 ans est mort en octobre dernier, a annoncé sa famille mercredi 14 décembre, à la suite d’une morsure de son chat quatre ans auparavant, qui lui avait transmis la bactérie «mangeuse de chair».

Une blessure bénigne qui s’avèrera mortelle. Henrik Kriegbaum Plettner, un Danois de 33 ans, est mort en octobre dernier, a annoncé sa famille mercredi 14 décembre, quatre années après avoir été mordu par son chat Ce dernier lui avait transmis la bactérie «mangeuse de chair».

Les faits remontent à 2018, lorsque le jeune Danois adopte une chatte et ses chatons dans un refuge. Par la suite, en tentant de déplacer la portée, il se fait mordre à l’index.

Une blessure superficielle au début, se refermant très vite. Néanmoins, quelques heures seulement après la morsure, Henrik Plettner a constaté que sa main avait doublé de volume.

En effet, la plaie s’étant refermée très vite, une bactérie a pu pénétrer son système sanguin par la veine et rester dans l'organisme où elle a commencé à se propager rapidement.

Sa santé s’est rapidement dégradée

D’après sa famille qui a témoigné pour le DailyMail, il aurait contacté un médecin, mais ce dernier ne prenant pas la situation au sérieux malgré plusieurs consultations, le Danois a fini par aller à l’hôpital.

Hospitalisé durant un mois, il a subi une dizaine d’opérations. Malgré tout, son doigt ne fonctionnant toujours pas correctement, les médecins ont décidé de l’amputer.

C’est alors que sa santé se serait rapidement dégradée. Sa mère a déclaré qu’il aurait eu une pneumonie, du diabète et la goutte, en plus d’avoir un système immunitaire considérablement affaibli.

Si la famille de Henrik Plettner a déclaré qu'il était mort en octobre, ses proches ont voulu médiatiser l’affaire afin de donner du crédit à la dangerosité d’une morsure de chat.

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