En direct
A suivre

Les Bleus tout proches de la qualification ?

Auteur d'un doublé, Karim Benzema a porté les Bleus vers la victoire contre le Honduras (3-0) Auteur d'un doublé, Karim Benzema a porté les Bleus vers la victoire contre le Honduras (3-0).[Luis Acosta / AFP]

Pour son deuxième match dans ce Mondial, l’équipe de France affronte, ce vendredi, la Suisse considérée comme l’adversaire le plus dangeureux du groupe E pour les Bleus. En cas de victoire, les hommes de Didier Deschamps feraient un pas presque définitif vers les huitièmes de finale.

 

20 juin 2010. La date la plus sombre de l’histoire du football français. En cause, la tristement célèbre grève des Bleus à Knysna au cours du Mondial en Afrique du Sud.

Quatre ans plus tard, jour pour jour, ils ont l’occasion de tirer un trait (définitif ?) sur cette douloureuse histoire. A condition de battre ce vendredi la Suisse, ce qui permettraient aux hommes de Didier Deschamps de faire un pas sans doute définitif vers les huitièmes de finale.

Mais rien ne semble pouvoir ébranler la confiance actuelle des Tricolores, pas même la sélection helvète 6e au classement Fifa. «Ce sera un vrai test. La Suisse est l’équipe la plus importante du groupe. On reste vigilant, même si on a peur de personne», avance Rio Mavuba. 

Une force née de leur qualification en barrage retour face à l’Ukraine (3-0) et qui semble, depuis ce 19 novembre, ne plus vouloir quitter cette équipe de France.

A l’image de Karim Benzema, plus prolifique que jamais avec huit buts inscrits lors de ses sept dernières apparitions sous le maillot des Bleus, dont un doublé contre le Honduras (3-0). "Il est extrêmement difficile de trouver des points faibles à cette équipe", concède le sélectionneur-adjoint suisse Michel Pont.

C’est la première fois que ça m’arrive depuis treize ans quand je visionne leurs matchs depuis l’Ukraine.» Ce casse-tête sera d’autant plus difficile à résoudre sur le terrain si les Suisses se montrent aussi poussifs que face à l’Equateur (2-1). «Si on joue au même niveau, ça n’ira pas», assure Pont. Mais ce ne sont pas les Bleus qui s’en plaindront.

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités