Selon une note de l'Insee consultée par Le Figaro, les ponts de mai ne représenteraient qu'une perte de croissance négligeable.
Ca y est, c’est fini. Le 9 juin, le lundi de Pentecôte a clôturé une série de cinq ponts printaniers, amorcée fin avril par le week-end de Pâques. Et contrairement à une critique récurrente, ces jours chômés ne devraient pas avoir d’impact majeur sur l’économie française.
Selon une note de l’Insee consultée par Le Figaro, ils ne représenteraient qu’un manque à gagner "très légèrement négatif, de l’ordre de 0,01 point" de croissance.
Mais tous les secteurs ne sont pas touchés de la même manière. Si celui du tourisme est plutôt avantagé par les ponts, dans l’intérim, le manque à gagner atteint les 8%.