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Berenyss : le suspect déjà visé par une plainte pour agressions sexuelles

Près de 200 gendarmes avaient t été mobilisés pour retrouver le ravisseur de la petite Berenyss. [FRANCOIS NASCIMBENI / AFP]

Selon une information de RTL, un homme a été placé en garde à vue ce mardi 28 avril dans le cadre de l’enquête sur la disparition de Berenyss, cette fillette de 7 ans qui avait été enlevée le 23 avril dernier. Une conférence de presse donnée en fin de matinée par le procureur de la République de Briey permet d'en apprendre un peu plus sur le suspect, un agriculteur âgé d'une cinquantaine d'années.

 

L’enquête sur l’enlèvement de Berenyss progresse. Selon une information révélée par nos confrères de RTL, un homme d’une cinquantaine d’années, soupçonné d’être le ravisseur, a été interpellé et placé en garde à vue ce mardi matin. 

Yves Le Clair, le procureur de la République de Briey (Meurthe-et-Moselle), a confirmé l'information et annoncé lors d'une conférence de presse que le suspect a déjà fait l'objet de quatre condamnations. Il est également visé par une plainte, déposée par un membre de sa famille, pour des faits d'agression sexuelle, toujours selon les déclarations du magistrat.

Le suspect, un agriculteur âgé d'environ 50 ans, a été identifié par son ADN.

 

"Une avancée déterminante"

Un peu plus tôt dans la matinée, le magistrat avait annoncé  "une avancée déterminante" de l’enquête mais avait refusé de donner davantage de détails.

Berenyss, 7 ans, avait disparu dans l’après-midi du jeudi 23 avril à Sancy en Meurthe-et-Moselle, alors qu’elle faisait du vélo non loin de son domicile.

Le dispositif alerte enlèvement avait été mis en place suite à la présence constatée au moment des faits d’un fourgon blanc conduit par un homme, décrit alors comme étant "âgé d’une quarantaine d’années".

 

Retrouvée saine et sauve

La fillette avait été retrouvée huit heures plus tard dans un village des Ardennes, où son ravisseur l’avait relâchée saine et sauve. Berenyss avait été prise en charge par une femme médecin et avait pu regagner le domicile familial dans la matinée du vendredi 24 avril.

Les premiers éléments de l’enquête avaient alors montré qu’elle n’avait pas été victime de violences physiques ou sexuelles. 

 

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