Après avoir pris un TGV spécialement affrété depuis Paris, les participantes seront réunies samedi pour la cérémonie, qui mettra en lumière quatorze lauréates. Une soirée animée par Laurence Ferrari, qui avait remporté le titre de Femme en or média en 2001. La journaliste dit avoir, «depuis toujours, la conviction que c’est dans le cœur des femmes que bat le cœur du monde».
De référence en référence
De l’art à l’innovation, de la science au spectacle, toutes les compétences au féminin seront représentées. Pour le trophée de la Femme d’exploit, la surfeuse Johanne Defay sera en compétition, entre autres, avec la cycliste Pauline Ferrand-Prévot et l’aviatrice Aude Lemordant.
En cette année «verte», la Femme de l’environnement sera peut-être Cécile Galoselva, la fondatrice de ETIC, ou Claire Grolleau Escriva, à l’origine du label Ecolo crèche. Des talents divers aussi incarnés, dans leur carrière, par les journalistes Audrey Crespo-Mara, Léa Salamé et Pascale de La Tour du Pin, et la grand reporter Dorothée Olliéric, nommées dans la catégorie Femme de média. En parallèle des plateaux de télévision, d’autres s’expriment avec brio sur les scènes de concert. C’est le cas de Cœur de pirate, Lou Doillon et Nach (Anna Chedid), en course pour la Femme de musique. Sans oublier la Femme d’entreprise, pour laquelle concourent Stéphanie Cardot, présidente de To Do Today, et Dominique Loiseau, PDG du groupe Loiseau.