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Un an après les attentats du 13 novembre : l'armée française en guerre contre Daesh

Les frappes françaises se multiplient depuis 2014. Les frappes françaises se multiplient depuis 2014. [Eric FEFERBERG / AFP]

Le combat contre le terrorisme se vit sur le territoire national, mais aussi à l'étranger.

En première ligne face au terrorisme dans l’Hexagone, l’armée française est ainsi présente dans le combat mené face à Daesh sur ses terres, en Irak et en Syrie. Depuis septembre 2014, les forces participent ainsi aux actions menées par la coalition internationale.

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Un appui principalement aérien, qui a entraîné plus de 1 600 largages de bombes ou tirs de missiles par les avions de chasse tricolores depuis près d’un an et demi, selon le dernier décompte de l’état-major. L’effort français se concentre actuellement sur le nord de l’Irak, alors que la bataille pour reprendre Mossoul aux islamistes fait rage.

Le troisième tour du Charles-de-Gaulle

Le tout appuyé par la présence en mer Méditerranée du porte-avions Charles-de-Gaulle, qui effectue actuellement sa troisième mission contre Daesh depuis janvier 2015.

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Une telle force de frappe a cependant un coût : selon le ministère de la Défense, le montant des «Opérations extérieures» de l’armée, Syrie et Irak compris, devrait atteindre cette année 1,15 milliard d’euros.

 

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