Dès ce vendredi, les départs en vacances et les derniers achats de Noël vont rendre la circulation difficile sur les grands axes et autour des grandes agglomérations.
Ce week-end, les vacances de Noël démarrent pour une durée de deux semaines. Selon Bison Futé, la période entre le vendredi 22 décembre et le mardi 26 décembre risque d'être à l'origine de nombreux bouchons.
Un flux de vacanciers «significatif»
Dès vendredi, les départs pour les fêtes de Noël vont battre leur plein, notamment en région parisienne. «Outre les difficultés récurrentes sur l’ensemble des axes de la région Ile-de-France, le flux des vacanciers sera significatif sur les grands axes en direction d’Orléans, de Lyon et de la Normandie», explique Bison futé. Au niveau national, «des difficultés de circulation seront enregistrées autour des grandes métropoles».
Bison Futé précise également que jusqu’au dimanche 24 décembre, en raison des courses de Noël, «les axes desservant les zones commerciales connaîtront une circulation dense. Il en est de même pour les secteurs commerciaux des centres des grandes villes. Il faudra privilégier, autant que possible, l’usage des transports en commun».
A l'assaut des stations de sports d'hiver
Ce vendredi 22 est classé orange au niveau national et rouge en Ile-de-France. Bison futé recommande de quitter ou de traverser Paris avant 10h et de quitter les grandes métropoles entre 15h et 20h.
La journée du samedi 23 décembre sera elle aussi une journée de départs en vacances. «La circulation sera difficile toute la matinée jusque dans l’après-midi. On attend des ralentissements sur les autoroutes A6, A6a et A6b au départ de Paris, dans la traversée de Lyon, ainsi que sur les autoroutes A40 et A43 menant vers les stations de sports d’hiver.» Il est conseillé d’éviter de quitter Paris entre 5h et 19h et de circuler dans les grandes agglomérations entre 11h et 16h.
Le mardi 26 décembre, journée de retours, «outre les bouchons récurrents en milieu urbain, on attend encore des flux de circulation denses sur les grands axes qui pourront se traduire par des ralentissements, principalement à partir de la région parisienne ainsi que sur les grands axes convergeant vers celle-ci», indique Bison futé.