Le Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) a menacé d'une grève des interruptions volontaires de grossesse (IVG).
Un message jugé «inadmissible» mercredi par la ministre de la Santé Agnès Buzyn, qui a «condamné» une «prise en otage des femmes».
Le Syngof a invité dans un message ses adhérents à «être prêts à arrêter la pratique des IVG» pour faire pression sur le ministère afin de régler le cas de quinze médecins condamnés à de lourds dommages pour erreur médicale.