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Variant Omicron : «Je suis pour que l'on anticipe et que l'on revienne au télétravail au maximum» explique Xavier Bertrand

«Je suis pour que l'on anticipe et que l'on revienne au télétravail au maximum», a estimé Xavier Bertrand ce dimanche 28 novembre, invité du Grand Rendez-Vous sur CNEWS.

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Pour justifier cet avis, le candidat à la Primaire LR estime que le retour au télétravail «au maximum», éviterait «d'importants risques de contagion» et ainsi anticiper «face à une épidémie qui n'est pas derrière nous». 

En parallèle, Xavier Bertrand a invité les personnes non-vaccinées à franchir le cap devant la dangerosité potentielle du nouveau variant Omicron. «Je le dis à celles et ceux qui ne sont pas vaccinés que par rapport à ce nouveau variant, ce sont eux les plus vulnérables». 

«La frontière britannique ne sera plus en France» 

Alors que la France et la Grande-Bretagne peinent à se mettre d'accord sur la solution à établir face à la crise migratoire, provoquant la mort de 27 personnes dans la Manche mercredi dernier, Xavier Bertrand a expliqué qu'il souhaitait rétablir des frontières strictes. «La frontière britannique ne sera plus en France, mais au Royaume-Uni», a-t-il ajouté. 

Le président de la région Hauts-de-France veut ainsi «dénoncer les accords du Touquet», estimant que «jamais Boris Johnson et son gouvernement ne viendraient s'asseoir à la table des discussions». Pour rappel, les accords du Touquet, signés en février 2003, concernent la surveillance de la frontière entre la France et le Royaume-Uni. 

Redonner de «l'espoir» à la classe moyenne 

Alors qu'il brigue la présidence de la République, Xavier Bertrand s'est présenté comme un chef de l'Etat «intraitable avec celui ou celle qui ne respecte pas les lois, quelque soit sa religion, sa couleur de peau ou son prénom». 

Se voulant être «le président de tous», Xavier Bertrand ne veut pas oublier les classes moyennes, «le coeur battant de la société française» selon lui. Estimant que cette classe se voit demander des efforts mais ne reçoit jamais les récompenses, l'ancien ministre du Travail sous Nicolas Sarkozy veut leur redonner «de l'espoir et des perspectives», au risque que «notre pays n'aille pas plus loin». 

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