Millionnaire, mûr, charmant, mais toujours célibataire à 47 ans, Larry Greenfield finit par désespérer de trouver l’amour de sa vie.
Ce «bachelor» lance actuellement un appel de détresse sur Internet après avoir tout tenté pour le trouver. Durant les 12 dernières années, cet ancien trader qui a fait fortune à Wall Street a dépensé par moins de 50 000 euros dans des agences matrimoniales et des sites de rencontres.
Résultat, malgré plus de 250 rendez-vous organisés avec des prétendantes sérieuses, il n’a jamais été conquis. «Il est extrêmement difficile et nous explique à chaque fois qu’il n’y a pas eu l’alchimie qu’il recherche», témoigne Maureen Tara Nelson qui a joué les entremetteuses à son service pendant un an avant d’abandonner.
Car Larry veut une femme d’obédience juive comme lui, jolie, mince, trentenaire, qui accepte d’avoir deux enfants, de vivre avec un chien et surtout pas vénale. «Je suis un type bien, je n’ai jamais fait de prison, tout ça est très frustrant», plaide-t-il avec humour.
Récemment, il a remis son destin entre les mains d’une autre agence, qui s’est engagé à ne rien lui faire payer tant qu’il ne trouverait pas le bonheur.