Fondé en 1948, le groupe CONDAIR est le premier fabricant mondial dans le domaine de l'humidification de l'air commerciale et industrielle et du refroidissement par évaporation.
Un sujet consacré donc à l’évolution du marché de la qualité de l’air intérieur : véritable enjeu de santé publique. Assurer un juste taux d’hygrométrie de l’air est une action méconnue et qui pourtant, joue un rôle important sur la prévention des risques sur la santé. Quelles solutions utiliser ? A qui faire appel ?
Retrouvez ci-dessous un entretien avec Alban GOMET, Président du Groupe CONDAIR.
CONDAIR, de par la conception des bâtiments, rééquilibre l’air grâce à un système de ventilation existante, un système de centrale de traitement d’air, ou alors, au sein d’une usine ou du local à traiter par exemple. Il est possible de le faire pour tout le bâtiment, ou bien, pour une seule partie uniquement.
En effet, l’humidité est perçue comme négative dans l’inconscient collectif et pourtant, des études scientifiques indépendantes prouvent qu'une humidité relative comprise entre 40 et 60 %, combat avec succès les virus et les bactéries, et protège notre santé… Or, en général, dans les bâtiments tertiaires ou les bâtiments de bureaux, lorsqu’on chauffe, qu’on climatise ou qu’on ventile, on assèche l’air et on n’est donc plus dans les 40 à 60 % d’humidité recommandés pour l’Homme et les machines. On respire alors un air trop sec qui a deux conséquences importantes. La première, c’est la prolifération et la contamination des virus dans l’air puisque, quand l’air est trop sec, la gouttelette d’eau qui est maintenue dans l’air et qui contient les virus et autres particules va être plus petite et légère et va donc, davantage rester en suspension et augmenter le risque de contamination par des virus. La deuxième conséquence, encore plus néfaste, est que cela va complètement bloquer notre système immunitaire respiratoire.
Outre la santé, l’assèchement de l’air peut avoir d’importantes conséquences sur la rentabilité d’une entreprise. Par exemple, dans l’aéronautique, l’automobile ou encore le textile, l’asséchement de l’air peut entrainer des ruptures de production et donc, des pertes de chiffre d’affaires. L’intervention de CONDAIR permet alors de garantir une logique économique et un retour sur investissement.
Désormais, le prochain défi de CONDAIR est de porter le message aux plus hautes instances afin de faire prendre conscience au plus grand nombre que maitriser la qualité de l’air intérieur est primordial. Le deuxième enjeu est d’accompagner les entreprises qui ont cette nécessité d’aborder une transition écologique et énergétique mais qui n’est pas forcément évidente à appréhender.
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