La pratique semble venue d’un autre temps.
L’Utah a autorisé lundi le recours à un peloton d’exécution pour les condamnés à mort, une pratique interdite dans l’Etat depuis 2004.
Le gouverneur, Gary R. Herbert, a précisé que l’injection létale demeurait la première méthode employée, mais que la pénurie des produits utilisés obligeait à trouver des alternatives.
De plus, la Cour suprême américaine doit statuer le mois prochain sur la constitutionnalité des injections létales, très critiquées. Le manque de produits a contraint certains responsables à avoir recours à des substances expérimentales, ce qui, dans certains cas, a suscité des agonies douloureuses.