La condamnation à mort, samedi, de l’ex-président islamiste Mohamed Morsi et de plus d’une centaine d’Egyptiens accusés de s’être évadés de prison durant la révolution en 2011 a entraîné dimanche 17 mai les critiques de Washington.
Les Etats-Unis se sont dits "vivement préoccupés par une nouvelle condamnation à mort de masse", appelant à une justice équitable en Egypte.
Mais le pouvoir égyptien semble déterminé à poursuivre la répression contre les islamistes. Dimanche, six militants islamistes reconnus coupables d’avoir mené des attaques pour le compte du groupe armé Ansar Beït al-Maqdis, ont été pendus.