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Vidéo : un Américain se noie en demandant sa compagne en mariage

«Tout ce que j'aime de toi, je l'aime encore plus chaque jour», avait notamment écrit Steven Weber à l'attention de sa bien-aimée. [Capture Facebook /@Kenesha Antoine]

Un rêve qui se transforme en cauchemar. Alors qu'il était en vacances en Tanzanie avec sa compagne, un Américain est décédé, après s'être noyé en faisant sa demande en mariage.

Steven Weber se trouvait sous l'eau, derrière une vitre, avec un simple masque et sans bonbonne d'oxygène, lorsqu'il a montré une feuille de papier à sa fiancée, Kenesha Antoine, qui filmait la scène.

Sur sa lettre, le jeune homme avait ainsi formulé sa demande : «Je ne peux pas retenir mon souffle assez longtemps pour te dire tout ce que j'aime de toi. Mais... tout ce que j'aime de toi, je l'aime encore plus chaque jour !». 

Des mots forts à la mesure de son amour pour la jeune femme qui sont devenus ses dernières paroles, Steven n'ayant pas pu regagner la surface.

Originaires de Bâton-Rouge, en Louisiane (Sud des Etats-Unis), Kenesha et lui étaient parti en vacances en Tanzanie et le couple séjournait dans une cabane, au large de l'île de Pemba, située dans l'océan Indien.

«Le meilleur jour de notre vie est devenu le pire»

Kenesha, qui est avocate, est aujourd'hui inconsolable à la suite de ce drame. Et c'est ainsi que la jeune femme a publié la vidéo de la tragique demande en mariage sur sa page Facebook, vendredi 20 septembre, en rendant hommage à l'amour de sa vie.

«Il n'y a pas de mots suffisants pour honorer la belle âme de Steven Weber. Tu as été une lumière brillante pour tous ceux que tu as rencontrés», a-t-elle notamment écrit.

«Tu n'as jamais émergé de ces profondeurs, tu n'as donc jamais entendu ma réponse : 'Oui ! Oui ! Un million de fois, oui, je vais t'épouser !' a-t-elle encore ajouté.

«Nous n'avons jamais pu embrasser et célébrer le début du reste de nos vies ensemble, alors que le meilleur jour de nos vies est devenu le pire, dans le plus cruel renversement du destin que l'on puisse imaginer», a enfin conclu Kenesha, rentrée depuis seule aux Etats-Unis.

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