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Sri Lanka : contrainte de défiler lors de rites religieux, une éléphante squelettique de 70 ans est morte

En août dernier, le ministère du tourisme du Sri Lanké avait, face au tollé international suscité, indiqué que Tikiri ne participerait plus à aucune célébration religieuse. En août dernier, le ministère du tourisme du Sri Lanké avait, face au tollé international suscité, indiqué que Tikiri ne participerait plus à aucune célébration religieuse. [INSTAGRAM]

Elle n'a pas survécu. Tikiri, éléphante âgée de 70 ans, qui avait ému en août dernier le monde entier en apparaissant fortement amaigrie lors d'une fête religieuse au Sri Lanka, est morte.

«La souffrance qu'endurait Tikiri est désormais terminée, son âme est maintenant libre. C'est un immense chagrin mais aussi un soulagement», a écrit sur son compte Instagram Lek Chailert, fondatrice de Save Elephant Foundation, qui avait dévoilé au grand jour l'histoire de Tikiri.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

The sad news is just out tonight that Tikiri passed away this evening. There is both sorrow and relief here. To think of her brings such pain to my heart. That hard service was her life, and not freedom, carries for me a commitment to others who yet suffer. That we could not help her before her eyes would shut forever fosters a renewed courage, and bears a responsibility for us to find safe refuges for all of the captive Giants born under the yoke of Man. What we wished for Tikiri, even a few days of freedom with love and care, we will demand for others. The day that I met Tikiri, her eyes locked with mine, telling me all that I needed to know. Her own fear and anger and sorrow is now part of that longer memory of her kind which should bear us no affection. Tikiri's suffering has ended, her soul is now free. No more harm can come to her. RIP dear Tikiri. Never look back to this world so cruel toward you and your friends. #saveelephantfoundation #bekindtoanimals #bekindtoelephants #elephant

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Avec plusieurs dizaines d'autres congénères, cette éléphante était forcée de marcher plusieurs heures la nuit, au milieu du bruit de la foule et des feux d'artifice, à l'occasion de cérémonies bouddhistes. Le costume que portait Tikiri masquait en réalité un corps émacié et affaibli, épuisé par les années de souffrance au service des rituels humains.

En août dernier, le ministère du tourisme du Sri Lanka avait, face au tollé international suscité, indiqué que Tikiri ne participerait plus à aucune célébration religieuse.

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