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Les créateurs d'Angry Birds veulent entrer en Bourse

La société finlandaise de jeux vidéo Rovio, créatrice du succès mondial Angry Birds, devrait entrer en Bourse au plus tôt au second semestre 2013, a indiqué mercredi son directeur financier Mikko Setälä dans un entretien avec le journal économique suédois Dagens Industri. La société finlandaise de jeux vidéo Rovio, créatrice du succès mondial Angry Birds, devrait entrer en Bourse au plus tôt au second semestre 2013, a indiqué mercredi son directeur financier Mikko Setälä dans un entretien avec le journal économique suédois Dagens Industri.

La société finlandaise de jeux vidéo Rovio, créatrice du succès mondial Angry Birds, devrait entrer en Bourse au plus tôt au second semestre 2013, a indiqué mercredi son directeur financier Mikko Setälä dans un entretien avec le journal économique suédois Dagens Industri.

"Nous avons préparé une introduction en Bourse pour 2013. Mais les actionnaires n'ont pas pris de décision pour savoir quand elle aura lieu, ni même si elle aura lieu".

"Si nous allons en Bourse, ce sera au plus tôt au second semestre de l'année prochaine. Nous n'avons aucun besoin de lever plus d'argent dans l'immédiat", a-t-il ajouté.

Rovio, fondé en 2003 et révélé par le milliard de téléchargements des différentes versions d'Angry Birds, avait signalé son projet d'une éventuelle entrée en Bourse dès 2011, évoquant New York et Hong Kong.

L'attente s'est accrue après la publication de résultats époustouflants pour 2011, année où Rovio a dégagé un bénéfice net (avant impôts) de 48,0 millions d'euros, pour un chiffre d'affaires de 75,4 millions.

Des valorisations astronomiques, à plusieurs milliards d'euros, avaient alors été avancées par des analystes financiers.

Interrogé par Dagens Industri sur une évaluation à 7 milliards d'euros, M. Setälä a qualifié le chiffre de "spéculation". "Nous n'avons pas sorti de chiffre. Ce serait une erreur de le faire", a-t-il dit.

Les principaux détenteurs de parts sont les trois fondateurs de la société, le père de l'un d'entre eux qui a hypothéqué sa maison à une époque pour maintenir l'entreprise en vie, et divers fonds de capital-risque ayant investi 42 millions de dollars en 2011, dont celui du fondateur du géant de la téléphonie internet Skype, Niklas Zennström.

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