Invité du Grand Rendez-vous sur CNEWS, Europe 1 et Les Échos, le ministre de l'Économie et des finances Bruno Le Maire est revenu sur les dossiers chauds du moment.
Il est notamment revenu sur les difficultés actuelles que rencontre le gouvernement en qualifiant de «banal», la récente démission de Gérard Collomb, ajoutant qu'elle n'allait pas faire dévier le cap du gouvernement.
![Augustin de Romanet , le PDG des Aéroports de Paris, le 28 février 2013 à Paris [Eric Piermont / AFP]](https://static.cnews.fr/sites/default/files/styles/image_200_112/public/000_Par7489496_0.jpg?itok=QSY65csu "Augustin de Romanet , le PDG des Aéroports de Paris, le 28 février 2013 à Paris [Eric Piermont / AFP]")
Autre sujet brûlant, le contrôle du groupe Aéroports de Paris. Avec une capitalisation à hauteur de 20 milliards d'euros, il s'agit de la privatisation la plus importante au monde en 2019.
Alors que certains aéroports sont passés sous pavillon étranger, celui de Paris est ainsi un investissement particulièrement intéressant, surtout pour la Chine. Mais Bruno Le Maire a éteint ce dimanche matin les ardeurs de chacun en expliquant que l'État garderait la main sur son joyau.
![Augustin de Romanet le 27 novembre 2012 à Paris [Bertrand Guay / AFP]](http://static.cnews.fr/sites/default/files/directmatin/image_placeholder_rect_basic.gif "Augustin de Romanet le 27 novembre 2012 à Paris [Bertrand Guay / AFP]")