Face aux violences récurrentes lors des manifestations des gilets jaunes, le Sénat s'apprête à se prononcer en faveur d'un texte de loi anti-casseurs.
L'adoption définitive de ce texte ne semble pas pour autant réjouir l'exécutif, qui souhaite atténuer la sévérité de la loi.
Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a d'ores-et-déjà annoncé à l’issue du Conseil des ministres qui se tenait exceptionnellement lundi 11 mars qu'Emmanuel Macron allait saisir le Conseil constitutionnel.