Une aide psychologique pour les policiers

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Jean-Pierre a été gravement blessé en opération de maintien de l'ordre, touché par un projectile en verre à la tête. Après plusieurs opérations et des mois de souffrance, il sombre dans la dépression et, rapidement, il a des idées suicidaires.

«J'étais en arrêt de travail, à la maison à gamberger», témoigne Jean-Pierre. «Ma compagne de l'époque m'a quitté, ça a été d'autant plus difficile.»

L'association Assopol accompagne gratuitement plus de 1.000 policiers ou gendarmes en France. Tous en détresse psychologique. Souvent, ils n'osent pas parler, par peur d'être jugés ou par honte.

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