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Eric Zemmour, sur la présidentielle : «Si je n'y allais pas, je décevrais beaucoup de gens»

Eric Zemmour était ce dimanche 26 septembre l'invité du Grand Rendez-Vous CNEWS/Europe 1, présenté par Sonia Mabrouk.

Le polémiste est revenu sur sa possible candidature à l'élection présidentielle de 2022, sur toutes les lèvres depuis quelques semaines. «Si je n'y allais pas, je décevrais beaucoup de gens. Ce sera pris comme une trahison, une désertion. [...] J'espère que dans ma vie je n'ai pas montré ces défauts-là. [...] Je choisirai mon moment», a-t-il expliqué.

Pas de distinction entre islam est islamisme

Eric Zemmour en a également profité pour aborder les thèmes qui lui sont chers : l'immigration, l'islam, ou encore l'assimilation à la nation française. Selon lui, «on peut être Français d'où que l'on vienne, mais on ne devient Français que s'il y a une assimilation. Pas une intégration, encore moins une insertion, pas une créolisation. L'assimilation, ça veut dire devenir le même, s'approprier l'histoire, les moeurs, la façon de vivre, les goûts, la littérature, la langue, les paysages, etc.»

Cette assimilation passe aussi par une autre pratique de l'islam, qui ne se distingue pas de l'islamisme pour Eric Zemmour. Et d'expliquer : «L'islam est une religion à théologie politique. C'est une civilisation incompatible avec les principes de la France, mais les musulmans peuvent très bien se détacher de l'Islam et avoir une pratique de leur religion "chrétienne"».

Pour autant, le polémiste assure faire la différence entre islam et musulmans : «Moi je tends la main aux musulmans en vérité car ils n'ont aucun intérêt à islamiser le pays puisqu'ils ont fui des pays musulmans».

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