Les premiers grosses cassures se font dans cette 8e édition du Vendée Globe. Les leaders continuent d'accélérer tandis que les poursuivants ont du mal à suivre le rythme.
Il y a désormais les "foilers" et les autres. Au treizième jour de course, jeudi, un groupe de sept skippers - principalement des bateaux équipés de foils (ailes profilées qui augmentent la portance) - menaient la danse dans cette 8e édition du Vendée Globe.
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Toujours situés au niveau des côtes brésiliennes, ils filaient dans l’Atlantique sud à une vitesse moyenne de 18 noeuds. Derrière, le reste de la flotte n’a pas la même réussite. Le Pot au noir n’a pas été clément avec eux. Ils l'ont franchi avec plus de 24 heures après les premiers.
«Mais attention les foilers, rien n’est joué!», a tenu à prévenir Alan Roura (23 ans), plus jeune engagé de l’histoire de la compétition, qui n’a pas dit son dernier mot. Comme les autres d’ailleurs.
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— Vendée Globe (@VendeeGlobe) 17 novembre 2016