Christian Horner, patron de l’écurie Formule 1 Red Bull, pourrait être licencié avant le premier Grand Prix de la saison, ce samedi, à Bahreïn pour «comportement inapprorié» et «comportement sexuel transgressif» sur l'une de ses employées, a expliqué, ce mardi, Reuters.
Un séisme juste avant le début de la saison de Formule 1 ? Christian Horner, patron de l'écurie Red Bull et accusé de «comportement inapproprié» à l’égard d’une salariée, pourrait être amené à quitter son poste, d’après l’agence de presse Reuters. Il aurait également été coupable de «comportements sexuels transgressifs» envers cette même employée, qui aurait transmis des messages du dirigeant au Telegraaf. La décision sur son avenir devrait être connue au plus tard mercredi soir.
Une somme d'argent proposée à l'employée pour étouffer l’affaire
Auditionné le 9 février dernier, le dirigeant de l’écurie autrichienne «nie totalement ces accusations». «Je travaille avec cette procédure qui, je l'espère, sera terminée dans un avenir proche, avait-il confié il y a quelques jours à Sky Sport. L'équipe est forte. Elle est unie et aujourd'hui est un jour important car nous posons des jalons pour la saison à venir.»
Une somme de 760.000 euros aurait été proposée à l'employée pour étouffer l’affaire. Le quotidien néerlandais indique également que «les allégations de comportements sexuels transgressifs de Horner sont désormais connues de plusieurs autres protagonistes du monde de la Formule 1.» De ce fait, Christian Horner pourrait quitter son poste de lui-même.
À quelques jours du premier Grand Prix de la saison, Christian Horner vit peut-être ces dernières heures en tant que patron de Max Verstappen.