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La dernière chronique de Valérie Trierweiler fait le buzz

Valérie Trierweiler a rapidement démenti avoir ajouté cette phrase.[ARCHIVES AFP]

L’ex-première dame signe régulièrement des chroniques littéraires dans Paris Match. Dans la dernière en date, consacrée à Jules Ferry, elle évoque "l'homme politique le plus détesté de France". Un message subliminal ?

 

Valérie Trierweiler signe régulièrement des chroniques littéraires dans Paris Match. Depuis l’élection de François Hollande en 2012, ses "papiers" sont scrutés avec soin. Or, dans le dernier, certains ont voulu voir un message à peine codé.

En effet, dans le chapô introductif consacré à l’ouvrage de Mona Ozouf surJules Ferry, la journaliste évoque ce dernier comme "l’homme politique le plus détesté de la France du XIXe siècle".

 

A l’origine de la polémique

Les choses auraient pu en rester là sans que surgisse la moindre question. Mais c'est une précision, dans cette même introduction, qui a attisé le buzz : "Toute ressemblance avec l’époque actuelle est purement fortuite".

Depuis, la rumeur court selon laquelle Valérie Trierweiler aurait voulu dresser un parallèle entre la grande figure de gauche du XIXe siècle et l'actuel président de la République dont elle est séparée depuis le mileu de l'année.

 

Rapide démenti

Face à ces rumeurs persistantes, Valérie Trierweiler a tenu à démentir toute implication personnelle dans le rajout de cette phrase. La journaliste a notamment fait savoir au Scan : "Je ne fais ni les titres, ni les chapô, inutile d’y voir un double-sens".

Le cas échéant, l'auteur de la précision a prouvé son sens de la communication, à défaut de celui de la délicatesse.

 

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