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Michel Galabru : ses cinq films les plus marquants

Michel Galabru a marqué l'histoire du cinéma français. [FRED DUFOUR / AFP]

Michel Galabru a tourné dans plus de 250 films et téléfilms tout au long de son immense carrière. Si, de son propre aveu, il apparaît au générique de nombreux nanars, certains de ses rôles au cinéma ont marqué notre mémoire collective.

Le Juge et l’Assassin

Certainement son plus beau rôle au cinéma. Réalisé par Bertrand Tavernier en 1976, Le Juge et l’Assassin voit Michel Galabru donner la réplique à Philippe Noiret dans ce film où il joue un personnage, Joseph Bouvier, qui sème les cadavres derrière lui. Son interprétation sera saluée par le César du meilleur acteur en 1977.

Le Gendarme de Saint-Tropez (et la saga qui a suivi)

Si Louis de Funès est la star incontestée de la saga Le Gendarme, la performance de Michel Galabru n’est pas étrangère au succès rencontré par les films de Jean Girault. Sa bonhommie naturelle couplée au tempérament soupe au lait de son personnage (l’inoubliable adjudant Jérôme Gerber) permet à celui de De Funès de briller par contraste.

Le Viager

En 1972, Michel Galabru tourne pour Pierre Tchernia dans Le Viager, une comédie étonnante dans laquelle il joue le rôle de Léon Galipeau, un médecin qui prédit la mort prochaine d’un de ses patients (interprété par Michel Serrault) et conseille à son frère d’acquérir la maison de ce dernier en viager. Sauf que le patient en question retrouve la santé… et oblige Léon Galipeau et les siens à envisager de précipiter le trépas de celui-ci.

La Cage aux folles

En 1978, Michel Galabru donne la réplique à Michel Serrault (encore) dans La cage aux folles d’Edouard Molinaro. Il joue un père de famille, député d’un parti ultra-conservateur qui prône le retour de l’ordre moral, et qui ignore tout des mœurs de la future belle-famille de sa fille.

Astérix contre César

En 1999, Michel Galabru participe à la première adaptation cinématographique des aventures d’Astérix d’Albert Uderzo et René Goscinny. Il hérite du rôle délicieux d’Abraracourcix, le chef du village des irréductibles gaulois. Difficile de trouver mieux.

Bonus : Bienvenue chez les ch’tis

Qui ne souvient pas de l’apparition de Michel Galabru dans le film à succès de Dany Boon ? Un moment d’anthologie, un phrasé, une gestuelle, etc. dont Michel Galabru avait le secret. Une seule réplique suffira pour le faire rentrer dans les mémoires.

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