Donald Trump : 4 ans d'une présidence marquée par les manifestations

Dès le lendemain de la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, des manifestations s'organisent pour critiquer le résultat du scrutin. Le slogan «not my president» («pas mon président en français») devient le cri de ralliement d'une opposition déçue.[©Ringo CHIU / AFP]

Philadelphie, New York, Los Angeles, Boston... Toutes les villes connaissent des manifestations contre l'élection de Donald Trump dans les heures qui suivent l'annonce des résultats. Devant la Maison Blanche, des contestataires installent des panneaux «meilleurs que la bigoterie». Parmi les reproches formulés à l'encontre du président élu, l'on retrouve des accusations de sexisme, d'homophobie et de racisme. [©Andrew BIRAJ / AFP]

Les féministes faisaient partie des principales opposantes à Donald Trump dans les jours qui ont suivi son élection. Il faut dire que la campagne s'était terminée avec une série de remarques sexistes de la part de Donald Trump. L'une était tirée d'un enregistrement d'émission dans laquelle il expliquait qu'être célèbre lui permettait «d'attraper» les femmes par les parties intimes. [©Timothy A. CLARY / AFP]

La Trump Tower de New York est devenu après l'élection présidentielle le lieu de ralliement pour les manifestants qui veulent montrer leur opposition. [©Eduardo MUNOZ ALVAREZ / AFP]

Le jour de l'investiture de Donald Trump le 20 janvier 2017, des affrontements entre manifestants et policiers ont lieu, alors qu'une limousine a été incendiée. [©Sencer PLATT / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP]

Au lendemain de l'investiture de Donald Trump, une marche des Femmes est organisée aux Etats-Unis et dans plusieurs villes du monde. Le chapeau rose à oreilles de chat était alors un symbole des féministes contre le président américain. [©Bryan R. Smith / AFP]

Devant l'aéroport de Dallas, des manifestants se rassemblent le 28 janvier 2020 pour lutter contre la décision de Donald Trump d'interdire l'accès aux Etats-Unis à tous les ressortissants d'un certain nombre de pays à majorité musulmane. [©G. Morty Ortega / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP]

Le 22 avril 2017, une grande Marche pour la Science a été organisée dans le monde entier pour protester contre des prises de position de Donald Trump. Ce dernier a adopté une posture clairement climatosceptique dès le début de son mandat. [©Josh Edelson / AFP]

Donald Trump n'a pas rencontré une opposition virulente qu'aux Etats-Unis. Alors qu'il discutait avec la Corée du Nord pour tenter de normaliser les relations avec le pays dictatorial, à Séoul des contestataires se sont rassemblés pour s'opposer au président américain en novembre 2017. [©Ed JONES / AFP]

Un an après l'investiture de Donald Trump, une nouvelle marche pour les Femmes est organisée aux Etats-Unis. À Washington, plusieurs dizaines de milliers de personnes étaient présentes selon les organisateurs.[©Alex Wroblewski / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP]

À l'été 2018, des milliers de personnes ont défilé aux Etats-Unis pour critiquer la politique d'immigration de l'administration de Donald Trump. Les contestataires demandaient à ce que les enfants ne soient pas séparés de leurs parents lorsque les familles étaient arrêtées après avoir franchi la frontière illégalement. [©Alex WONG / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP]

Alors que Greta Thunberg parcourait le monde pour alerter sur les risques du dérèglement climatique, elle s'est arrêtée pendant plusieurs semaines aux Etats-Unis. Le 20 septembre 2019, une grande manifestation a été organisée par son mouvement, Fridays for Future. Pour l'occasion, New York avait autorisé les enfants à ne pas se rendre à l'école.[©Bryan R. Smith / AFP]

L'été 2020 aux Etats-Unis aura été marqué par la mort de George Floyd et les manifestations qui s'en sont suivi. Le décès de ce Noir américain aux mains d'un policier blanc a réveillé la fracture raciale dans le pays. Un mouvement social de grande ampleur a suivi cette prise de conscience, avec une implication des médias, du sports et d'une partie des politiciens. [©Elijah NOUVELAGE / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP]

Le dernier incendie pour Donald Trump ? À quelques semaines de l'élection présidentielle de 2020, la juge de la Cour suprême Ruth Bader Ginsburg est décédée. Cela a laissé toute latitude pour le président sortant de nommer une juge conservatrice pour la remplacer : Amy Coney Barrett. Cette décision a cependant attiré beaucoup de critiques car cette nomination se fait en pleine période électorale, et fait un peu basculer la plus haute juridiction du pays du côté conservateur.[©Andrew CABALLERO-REYNOLDS / AFP]