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La saga bitcoin prend un tour dramatique

Une version physique du bitcoins, mise au point par Mike Caldwell, ingénieur américain. [GEORGE FREY / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP]

Le corps sans vie d'Autumn Radtke, la dirigeante de 26 ans de la plateforme d'échange de bitcoins FirstMeta, a été retrouvé le 26 février dernier à son domicile de Singapour. La police exclut l'hypothèse d'un meurtre, mais a qualifié sa mort de "non naturelle".

 

Les déboires s'accumulent sur la planète bitcoin, cette monnaie virtuelle inventée en 2009. En février dernier, MtGox, l'une des plus importantes bourses d'échange de bitcoins, cessait brutalement ses transactions avant de se placer en catastrophe sous la protection de la loi sur les faillites du Japon à l'issue d'un scénario rocambolesque.

Cette semaine, c'est une plateforme canadienne, Flexcoin, qui indiquait devoir cesser ses activités après un piratage informatique qui lui aurait coûté 500.000 dollars.

Enfin, le 27 février, la plateforme First Meta annonçait sur Facebook la disparition de sa jeune fondatrice et dirigeante Autumn Radtke, 26 ans, sans préciser les conditions de son décès.

 

 

 

Rebondissement ce jeudi. La police de Singapour a indiqué dans un communiqué que la jeune femme était morte de façon "non naturelle". Ce, alors que ces derniers jours, la presse spécialisée se faisait l'écho d'un possible suicide.

Mais l'hypothèse d'un meurtre est d'ores et déjà exclue : "l'enquête préliminaire montre qu'il n'y a rien de suspect" précisait le communiqué.

 

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