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Ligue des champions : le Real s'est qualifié pour les quarts de finale

Le capitaine Sergio Ramos égalise pour le Real sur corner face à Naples en Ligue des champions, au stade San Paolo, le 7 mars 2017 [Alberto PIZZOLI / AFP] Le capitaine Sergio Ramos a conforté son statut de défenseur le plus décisif de son époque. [Alberto PIZZOLI / AFP]

Deux corners, deux têtes de Sergio Ramos et le tenant du titre poursuit sa route. Le Real Madrid, très efficace et vainqueur 3-1 comme à l'aller, s'est qualifié mardi pour les quarts de finale de la Ligue des Champions en éteignant l'enthousiasme du fantastique public de Naples.

Le Real a été mené au score et a souffert pendant cinquante minutes, probablement pas assez pour avoir vraiment peur, mais souffert quand même. Puis Sergio Ramos a décidé en bon capitaine que l'affaire et le suspense avaient assez duré.

Le défenseur central du Real est alors monté sur deux corners. Après avoir placé de la tête le ballon hors de portée de Reina (51e), il a poussé Mertens à la faute (57e), tuant ainsi un match que le Belge pensait pourtant avoir parfaitement allumé (24e). Dans le temps additionnel, le but de Morata, anecdotique, en dit surtout long sur la cruauté espagnole.

Petite forme du Real

Avec neuf buts inscrit toutes compétitions confondues cette saison, Ramos conforte son statut de défenseur le plus décisif de son époque, d'assez loin. «El Capitan» camoufle quand même un peu les insuffisances et la petite forme actuelle du Real qui avec trois buts au San Paolo a quand même été généreusement récompensé d'une performance assez pauvre, au moins jusqu'à l'heure de jeu.

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Pour Naples il n'y a donc pas eu de miracles car comme le répète souvent l'entraîneur Maurizio Sarri, «pour les miracles, il y a Padre Pio». Mais son équipe a quand même réussi la première période dont toute une ville rêvait. Dans un stade qui était rempli plus de deux heures avant le coup d'envoi et dans une ambiance invraisemblable, ses joueurs ont alors constamment défié ceux d'en face, sans crainte de se faire prendre en contre.

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