Maxime Brunerie, l’homme qui avait tenté d’assassiner sur les Champs Elysées l’ancien président de la République Jacques Chirac lors du défilé du 14 juillet de 2002, a récemment été mis en examen pour violences sur sa compagne. Remis en liberté, il a été placé sous contrôle judiciaire.
Maxime Brunerie aura de nouveau affaire avec la justice. Condamné à 10 ans de prison pour sa tentative d’assassinat sur Jacques Chirac, ce militant d’extrême-droite, ancien membre du groupuscule Unité radicale – dissous en 2002 - était ressorti libre en 2009.
Cette fois-ci, c’est pour des violences sur sa compagne qu’il se retrouve dans l’œil du cyclone du système judiciaire. Interpellé il y a environ deux semaines et placé en garde à vue au commissariat de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), Brunerie pourrait être prochainement présenté à un juge.
Par ailleurs, RTL indique que les services de police l’avaient repéré à l’occasion de plusieurs récentes manifestations contre le mariage pour tous.
Maxime Brunerie y défilait aux côtés de membres du mouvement « Le Printemps Français », l’une des franges les plus résolues des opposants au mariage homosexuel.
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