Retrouvez minute par minute discours de Jean-Luc Mélenchon, place de la République à Paris.
La France Insoumise a organisé, ce samedi après-midi, un grand défilé à Paris pour protester contre ce que Mélenchon appelle le «le coup d'état social» d'Emmanuel Macron.
17h24: «Nous connaissons la force des organisations syndicales et des salariés»
Jean-Luc Mélenchon évoque la grève des transporteurs et des raffineries à partir de lundi.
17h18 : Mélenchon se moque de la mise en scène de la signature des ordonnances
Trop tard pour contester la réforme du Code du travail ? «La bataille n'est pas finie, elle commence (...). On en a connu d'autres qui se disaient droit dans leurs bottes et à qui on a fini de les retirer.»
17h16 «La France se vide de son sang, de sa capacité industrielle»
Le leader de la France Insoumise évoque les «ventes» de STX, Alstom et Alcatel-Lucent.
17h13 : Jean-Luc Mélenchon dénonce le «saccage de l'Education nationale» et du «logement social»
La foule entonne de nouveau «Résistance !» Mélenchon reprend son slogan «Dégagez !», et est imité par la foule.
17h10 : Brefs incidents entre militants LFI et militants radicaux du Black Bloc
De brefs incidents ont éclaté samedi entre militants radicaux du «black bloc» et des partisans de Jean-Luc Mélenchon place de la République à Paris, où le leader de la France insoumise prononçait un discours en fin d'après-midi, a constaté un journaliste de l'AFP.
En arrivant place de la République, quelques dizaines de militants radicaux autonomes, qui défilaient en amont du cortège parti de la place de la Bastille, vêtus de noir et visages masqués, ont couru vers la scène, où ils ont arraché des affiches de la France insoumise. Certains ont jeté des projectiles sur la scène et renversé des barrières.
Lorsque Jean-Luc Mélenchon a entamé son discours à 17h00, quelques huées ont fusé, puis est survenu un petit mouvement de foule, ainsi que quelques empoignades, lorsque des partisans de la France insoumise ont voulu éloigner des abords de la scène les perturbateurs.
17h10 : «C'est un coup d'état social»
Nous n'avons pas pu discuter une seule ligne, une seule page des ordonnances. #JaiBastille https://t.co/CMg1A4Jpxk
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 23 septembre 2017
«C'est nous la force déterminée et tranquille», ajoute Jean-Luc Mélenchon. La foule crie : «Résistance ! Résistance !»
17h09 : «Le contrat de travail ne serait plus une protection, mais serait une sorte de chiffon de papier»
Le chef de la France Insoumise critique le recours aux ordonnances et la place donnée à l'accord de branche.
17h04 : Jean-Luc Mélenchon salue les syndicats
«Salue à la CGT, à Solidaires, à la FSU (...) avec bien sûr une pensée émue pour la CGT qui fête l'anniversaire de sa naissance aujourd'hui»
Nous envoyons un salut particulier à la CGT qui fête aujourd'hui même l'anniversaire de sa naissance en 1895. #JaiBastille
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 23 septembre 2017
17h00 : «Vous êtes comme nous des indignés qui n'acceptent pas qu'on leur parle sur ce ton»
«C'est la rue qui a abattu les rois, c'est la rue qui a abattu les Nazis (...) c'est la rue qui a obtenu la quatrième semaine des congés payés.»
Jean-Luc Mélenchon attaque frontalement Emmanuel Macron.