En dressant un constat alarmant de la situation internationale, Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité de «ne pas laisser gagner la Russie». «Laisser la Russie gagner c’est accepter que les règles de l'ordre international puissent ne plus être respectées».
Le chef de l'Etat a annoncé qu'il se rendrait ainsi en Ukraine en février, sans dévoiler de date précise.
Interrogé sur ses propos sur Gérard Depardieu, qui avaient suscité une vive polémique, Emmanuel Macron a indiqué regretter «de ne pas avoir assez dit que la parole des femmes était importante».
«Je n’ai pas attendu MeToo pour dire que la priorité, c’était les violences faites aux femmes dans les transports», a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron a annoncé l'organisation d'un hommage aux victimes du Hamas en Israël le 7 février prochain, quatre mois jour pour jour après les attaques de l'organisation terroristes contre l'Etat hébreu.
Emmanuel Macron : «Le 7 février prochain, dans le jardin des Invalides, je rendrai hommage à aux victimes du Hamas» pic.twitter.com/QAS0np91YC
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Emmanuel Macron a de nouveau défendu la ministre de l'Education nationale Amélie Oudéa-Castera, engluée dans une polémique sur la scolarisation de ses enfants dans le privé.
«Elle a fait un choix pour ses enfants, ce sont des choix personnels, il faut les respecter», a-t-il déclaré, assurant que sa ministre «réussira sa tâche avec les enseignants».
Interrogé sur la nomination de Rachida Dati en tant que ministre de la Culture, alors que cette dernière était mise en examen, Emmanuel Macron a évoqué la présomption d’innocence. «Il n’y a pas de règles qui font qu’un ministre mis en examen devrait quitter le gouvernement. J’ai pu avoir des ministres mis en examen qui ont pu être innocentés, la justice va faire son travail avec sérénité», a-t-il déclaré.
Le chef de l’Etat a loué «l’énergie, le talent et la liberté» de sa ministre, assurant «ne pas avoir parlé de Paris» avec Rachida Dati, évoquant les rumeurs d’un accord politique autour des prochaines élections municipales de 2026.
Emmanuel Macron : «Nous n'avons pas parlé de Paris» avec Rachida Dati pic.twitter.com/l170XiyufZ
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Interrogé sur la montée du Rassemblement national dans les sondages, notamment pour les élections européennes, Emmanuel Macron a assuré qu’il ferait «tout» pour empêcher l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen.
«Le Rassemblement national est devenu le parti de la colère facile, ne nous habituons pas, je me battrai jusqu’au dernier quart d’heure», a-t-il déclaré.
Alors que la ministre de l’Éducation nationale Amélie Oudéa-Castera est engluée dans une polémique sur la scolarisation de ses enfants dans le privé, Emmanuel Macron a lui considéré qu’il n’existait pas «de conflit entre l’école publique et l’école privée».
«La réussite de nos enfants et une école forte», a-t-il assuré.
Emmanuel Macron : «Les polémiques du moment ne doivent pas nous faire quitter l'axe qui est le nôtre : la réussite de nos enfants et une école forte» pic.twitter.com/xnOrkKUNYs
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Emmanuel Macron a vanté la «réponse implacable» de l’Etat lors des émeutes qui ont touché la France en juillet dernier, à la suite de la mort du jeune Nahel à Nanterre. Il a pointé du doigt un problème global, regrettant que beaucoup des jeunes ayant participé aux émeutes étaient «sans école depuis le mois d’avril» et «sans activité».
Emmanuel Macron : «La réponse aux émeutes a été implacable» pic.twitter.com/fCInCozpzm
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Défendant l’aide aux familles, notamment «les familles monoparentales», mais aussi «aux jeunes qui commencent à décrocher», le chef de l’Etat a annoncé la «généralisation du Service national universel (SNU) en seconde».
Emmanuel Macron est revenu sur son intention de «réguler l’usage des écrans chez les jeunes». Attendant les réponses des travaux d’une commission installée sur ce thème, attendus au mois de mars, le chef de l’Etat s’est donné le temps pour soumettre des propositions.
«Passer du temps devant les écrans a un impact», a-t-il ajouté.
Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé mardi que la baisse d'impôts de deux milliards d'euros qu'il envisage pour les classes moyennes aurait lieu dès 2025.
«On aura entre autres, dans notre trajectoire financière, deux milliards de baisses d'impôts sur nos compatriotes qui sont dans ces catégories en 2025», a-t-il déclaré.
Cette mesure est envisagée depuis le printemps 2023, mais son timing exact avait évolué au cours des mois, avec une possibilité qu'elle soit repoussée en fin de quinquennat.
Emmanuel Macron a considéré que les Français «consommaient trop de médecine». De ce constat, le chef de l'Etat a appelé à «responsabiliser sur la consommation de médicaments», se félicitant du doublement de la franchise médicale, permettant «l'augmentation du prix de la boîte de médicaments de 50 centimes à 1 euro».
Emmanuel Macron : «Les logements vont sortir de terre pour les Jeux olympiques» pic.twitter.com/yqkj5BOcXX
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Emmanuel Macron a demandé à son gouvernement d’assumer de «régulariser nombre de médecins étrangers qui tiennent notre système à bout de bras».
Afin de «mettre fin au scandale des déserts médicaux», le chef de l'Etat a considéré qu'il fallait permettre «une meilleure coordination» entre médecine de ville et l'hôpital et les professions paramédicales.
Le président de la République a également regretté qu'aujourd'hui «il n'y a quasiment plus d'endroit où il n'y a pas de désert médical».
Le chef de l'Etat s'est dit «favorable à l'apprentissage de La Marseillaise dès l'école primaire».
Emmanuel Macron : «Je suis totalement favorable à ce qu'on apprenne la Marseillaise au primaire» pic.twitter.com/OMuHckQGmb
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Emmanuel Macron a également fait savoir que le gouvernement allait «repenser la formation des enseignants», annonçant que cette réorganisation passait notamment par une «meilleure rémunération», mais aussi en apprenant aux enseignants de nouvelles taches, citant «l'accompagnement des devoirs», afin de «lutter contre les injustices».
Emmanuel Macron a demandé des mesures à son gouvernement pour «que le travail paie mieux», afin d'aider les classes populaires et moyennes, affirmant vouloir retrouver «une maîtrise des prix».
Emmanuel Macron a annoncé la mise en place d’un «congé de naissance» pour remplacer le congé parental actuel, qui permettra aux deux parents «d'être auprès de leur enfant pendant six mois s'ils le souhaitent».
Emmanuel Macron : «Le congé de naissance viendra remplacer le congé parental actuel» pic.twitter.com/pBjstSiFiP
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Le chef de l'Etat a indiqué vouloir engager la France dans «un réarmement civique», considérant que «chaque génération de Français doit apprendre ce que la République veut dire, le sens profond du respect et de l’engagement, et cela, dès l’enfance».
De ce fait, Emmanuel Macron a également annoncé le retour des cours d'Histoire de l'art au collège et au lycée.
En ce qui concerne l'uniforme, le président de la République a réannoncé la mise en place de l'expérimentation de la «tenue unique», qui, «efface les inégalités entre les familles», dans une centaine d'établissements, pour une généralisation en 2026, «si les résultats sont concluants».
La tenue unique efface les inégalités entre familles et crée les conditions du respect. Elle sera expérimentée dans 100 établissements dès cette année. Si les résultats sont concluants, nous la généraliserons en 2026. pic.twitter.com/eT4lImV6EN
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En ouverture de sa conférence de presse ce mardi 16 janvier, Emmanuel Macron a considéré que «le monde d'hier» était «en train de s'effacer», citant «l'invasion russe en Ukraine» et «l'attaque terroriste du Hamas en Israël».
Dressant un constat alarmant à l'échelle européenne, le chef de l'Etat s'est dit «convaincu d'avoir tous les atouts pour réussir», assurant que la France était «mieux armée qu'il y a six ans et demi».
Emmanuel Macron : «Au moment où je vous parle, nous sommes mieux armés qu'il y a six ans et demi» pic.twitter.com/gpJoUXReFl
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