Une jeune militante de 23 ans a été agressée, ce dimanche 7 avril, sur un marché lyonnais, alors qu’elle distribuait des tracts pour le candidat des Républicains aux élections européennes, François-Xavier Bellamy.
Quelques mois après l’agression de jeunes Républicains sur le marché Saint-Antoine, à Lyon, une militante LR été victime «d’insultes», de «crachats» et d’une «bousculade» de part d’«antifas» alors qu’elle distribuait des tracts pour François-Xavier Bellamy. Cette dernière a reçu le soutien du président des Républicains, Éric Ciotti, qui a réclamé «l’interdiction de ces groupuscules ultra violents».
«Exaspérant de militer de nos jours…Encore aujourd’hui sur le marché en train de tracter pour François-Xavier Bellamy et Céline Imart, quand deux antifas ont essayé d’arracher mes tracts en m’insultant avant de nous bousculer et nous cracher dessus. Cela devient malheureusement la routine à Lyon», a tweeté Clothilde Merillou, membre des jeunes Républicains lyonnais.
Exaspérant de militer de nos jours…
Encore aujourd’hui sur le marché en train de tracter pour @fxbellamy et @CelineImart, 2 antifas ont essayé d’arracher mes tracts en m’insultant avant de nous bousculer et nous cracher dessus.
Cela devient malheureusement la routine à Lyon … pic.twitter.com/tLBZ1yV0JJ— Clotilde Merillou (@Clo_Merillou) April 7, 2024
«Soutien à Clotilde Merillou, jeune républicaine de Lyon, agressée par une bande sauvage et lâche d’antifas. C’est la deuxième agression en quelques mois de nos militants à Lyon. Interdisons une bonne fois pour toute ces groupuscules ultra violents !», a pour sa part tweeté le président des Républicains, Eric Ciotti.
Soutien à Clotilde Merillou, jeune républicaine de Lyon, agressée par une bande sauvage et lâche d’antifas.
C’est la deuxième agression en quelques mois de nos militants à Lyon.
Interdisons une bonne fois pour toute ces groupuscules ultra violents ! https://t.co/edG5W3QyuI— Eric Ciotti (@ECiotti) April 7, 2024
Le 7 janvier dernier, un militant de 20 ans des jeunes Républicains du Rhône avait en effet été agressé alors qu'il tractait avec deux autres camarades sur le marché du quai Saint-Antoine, dans le 2e arrondissement de Lyon, pour faire valoir la proposition du parti pour l’organisation d’un référendum sur l’immigration. Le jeune homme avait porté plainte.