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Tout savoir sur l'Hyperemesis gravidarum, la maladie dont souffre Kate Middleton

Kate Middleton s’apprête à vivre une troisième grossesse éprouvante.[DANIEL LEAL-OLIVAS / AFP]

Enceinte de son troisième enfant, la duchesse de Cambridge voit une fois encore sa grossesse troublée par un mal rare, l’Hypermesis gravidarum. 

Le terme latin apparait ainsi dans le communiqué officiel annonçant la grossesse de Kate Middleton et émanant de Kensington Palace. Un terme qui désigne un mal qui ne touche que 1% des femmes enceintes, et décuple les nausées inhérentes à certaines grossesses

Les symptômes peuvent être plus préjudiciables à la santé de la mère. Ainsi, au-delà des nausées, déshydratation, constipation, déséquilibre des niveaux d’hormone, hémorragie sous-conjonctivale (dans l’œil), hallucinations ou vertiges sont au menu des réjouissances.

Si les causes de la maladie sont incertaines, la pathologie est connue, et des traitements existent. Seul problème, durant une grossesse très peu de médicaments sont autorisés, et les futures mamans doivent souvent endurer cette situation. 

Admise au King Edward VII Hospital en 2012

La National Health Service (NHS) britannique, citée par LCI, rapporte ainsi que «certaines femmes disent être malades jusqu’à cinquante fois par jour». Pour rappel, en 2012, alors qu’elle était enceinte du prince George, la duchesse de Cambridge avait été admise au King Edward VII Hospital. Pour sa deuxième grossesse, celle de la princesse Charlotte, Kate Middleton avait été prise en charge directement dans sa résidence, à Kensington Palace. Selon les informations de la presse britannique, il devrait en être de même cette fois. 

Quoi qu’il en soit, la duchesse de Kensigton s’apprête à vivre une nouvelle grossesse compliquée, sans garantie que le mal ne passe rapidement, car comme l’explique l'Hyperemesis Education & Research Foundation (HER), citée par LCI, «contrairement aux maux classiques liés à la grossesse, l’hypermesis gravidarum peut ne pas s’améliorer avant quatorze semaines. Il peut ne pas disparaitre jusqu’à la naissance du bébé, même si certains symptômes peuvent s’améliorer autour de vingt semaines».

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