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Jacques Chirac donne procuration à sa femme

Bernadette Chirac Bernadette Chirac en meeting de soutien à Nicolas Sarkozy, en avril 2012.[CHARLY TRIBALLEAU / AFP]

A trois jours du scrutin présidentiel français, suivez en direct la campagne électorale : ses petites phrases, ses anecdotes et les grandes annonces des candidats.

21h15 :  Pour son dernier meeting de campagne, François Bayrou a de nouveau alerté les électeurs sur la menace de la crise grave qui touche toujours notre pays et dénoncé ses concurrents "démagogues" qui se refusent à dire la vérité, fustigeant leur "mépris" pour la démocratie.

21h00 :  Le candidat du NPA à la présidentielle Philippe Poutou a terminé sa campagne par une réunion publique jeudi à Rouen au cours de laquelle il a dit espérer "un score honorable" qui mettrait son organisation "en position plus facile pour la suite". "Si je fais 1%, cela ne nous démobilisera pas mais un score honorable nous mettrait dans une position plus facile pour la suite", a-t-il déclaré au côté d'Olivier Besancenot qui a porté les couleurs de la LCR, l'ancêtre du NPA, lors des campagnes de 2002 et 2007.

20h55De jeunes militantes UMP assurent avoir reçu des coups lors d'une grosse bousculade mercredi à Amiens, en marge de la venue du candidat socialiste à la présidentielle François Hollande et ont déposé plainte, jeudi au commissariat d'Amiens, a-t-on appris de sources concordantes.

20h16Nicolas Sarkozy a promis de "mettre à plat" et de "moderniser" les règles de l'égalité du temps de parole et du parrainage pour les candidats à la présidentielle en assurant que "c'est la dernière élection avec ces règles", dans un entretien au Figaro à paraître vendredi.

19h47 La porte-parole de Nicolas Sarkozy, Nathalie Kosciusko-Morizet, a estimé  qu'Eva Joly ne "parlait quasiment pas d'écologie" alors même que la question avait été selon elle "sous-traitée" à Europe Ecologie-Les Verts par le Parti socialiste.

19h31 : Nicolas Dupont-Aignan, candidat à la présidence de la République, a estiméà propos de la possible publication par certains médias des résultats du premier tour avant l'heure légale, que "les réseaux sociaux faussent moins l'élection que les sondages".

19h27 : Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi qu'il maintiendrait et même étendrait, s'il était réélu, la prise en charge par l'Etat des frais de scolarité dans les lycées français à l'étranger, une mesure controversée et très coûteuse pour les deniers publics.

19h10 : L'Elysée s'était opposé à une solution adoptée à l'unanimité par le Sénat pour éviter la publication en avance des résultats d'une élection qui consistant à fermer tous les bureaux de vote à la même heure, a souligné jeudi le président de la commission des lois de la Haute assemblée, Jean-Pierre Sueur (PS).

17h 52 : Bernadette Chirac votera pour son mari, l'ancien président de la République Jacques Chirac, dimanche à Sarran (Corrèze). Une précision qui ne manque pas de sel en pleine polémique sur des rumeurs insinuant que la famille Chirac voterait François Hollande, à l'exception notable de Bernadette, soutien affichée de Nicolas Sarkozy. Jacques Chirac est actuellement au Maroc.

17h43 : la polémique autour d'une publication des résultats du premier tour avant 20h enfle. Ce matin, Nicolas Sarkozy se disait pas "choqué" par la publication en avance des premiers résultats de la présidentielle dimanche, contre l'avis de François Hollande et des autorités, parquet en tête, qui ont strictement appelé au respect de la loi. Le candidat socialiste réclame de la "sévérité" pour les contrevenants, alors que Libération a clairement annoncé qu'il n'hésiterait pas à violer cet embargo "de plus en plus archaïque". De son côté, Eva Joly, candidate d'EELV, estime elle qu'une fuite d'estimations "peut influencer le vote", que ce serait "une rupture de l'égalité" qui pourrait "avoir une influence indue". Un conseiller de Jean-Luc Mélenchon a pour sa part confié trouver "anormal" de diffuser des résultats en avance.

17h14 : François Hollande estime qu'il faut "être sévère" contre ceux qui publieraient dimanche avant 20h des résultats de la présidentielle, ajoutant qu'il était "favorable" à ce qu'à l'avenir la clôture des scrutins se fasse partout en France à 19h.

16:20 : Nicolas Sarkozy ne serait "pas choqué" par une publication des résultats dès 18h30. François Hollande sera lui "sévère" contre ceux qui pourraient les publier avant 20h00.

15:35 : Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur s'est exprimé aujourd'hui au Talk Orange-Le Figaro. Il met en garde contre ce qu'il nomme "Hollanchon", "greffe" entre François Hollande et Jean-Luc Mélanchon. Une «espèce d'animal hybride que personnellement j'appelle Hollanchon, avec un assemblage d'idées hétéroclites, de valeurs très bizarres et qui font un peu peur» représente selon lui "un repoussoir absolu, un cauchement" pour les électeurs centristes. 

15:05 : Marine Le Pen a perdu son procès en diffamation contre Eva Joly

14:40 : Le ministre chargé de la Coopération Henri de Raincourt a qualifié jeudi de "manipulations grossières de l'équipe de François Hollande" les accusations de Jean-Paul Bachy (DVG) sur les relations entre Nicolas Sarkozy et l'Afrique. "Malgré la crise et contrairement aux assertions mensongères des socialistes, la France a maintenu ses engagements" à l'égard de l'Afrique, écrit M. de Raincourt dans un communiqué. "L'OCDE a annoncé que l'aide publique au développement française représentait 0,46% de son revenu national brut en 2011 et estime qu'elle atteindra 0,5% en 2012", ajoute-t-il. 

14:35 : L'ancien ministre UMP Philippe Douste-Blazy, soutien de François Bayrou pour la présidentielle, a déploré jeudi sur Public Sénat le "discours anti-européen" de Nicolas Sarkozy, tout en saluant l'action de François Hollande en faveur de la "moralisation de la vie politique". "Quand j'entends les discours anti-européen du président-candidat, je suis étonné qu'un centriste puisse lui donner un blanc-seing", a-t-il dit au sujet d'Hervé Morin, qui a demandé à M. Bayrou d'appeler à voter pour M. Sarkozy au second tour. 

14:15 : D'après le maire de Sarran où les époux Chirac sont inscrits sur les listes électorales, Bernadette Chirac aurait procuration pour procéder au vote de son mari. D'après l'entourage de l'ex-président de la République, celui-ci serait en vacances à Taroudant où il a l'habitude de séjourner. Ces derniers jours, l'ex-couple présidentiel a fait l'objet de rumeurs sur leurs intentions de vote. Madame Chirac ne fait pas mystère de ses intentions alors qu'elle s'est impliquée dans la campagne de Nicolas Sarkozy. Jacques Chirac, en revanche, entretient l'incertitude. Ses amis et proches lui prêtent l'intention de porter son suffrage sur le nom du candidat socialiste François Hollande.

13:45 : Treize personnalités, historiens, juristes, ex-ministres, déclarent leur soutien à François Hollande pour le 1er tour de la présidentielle et appellent à la constitution autour de lui d'un "arc démocratique" allant du MoDem au Front de gauche, cette semaine dans le Nouvel Observateur. "Nous voulons le changement et nous le voulons maintenant. Nous voterons dès le 22 avril pour François Hollande. Nous avons conscience que c'est autour de sa candidature que la victoire est possible", écrivent les signataires de cette tribune intitulée "Pour une nouvelle République". Ils appellent à la formation d'une coalition qui "doit regrouper tous les hommes et les femmes, les partis et les courants de pensée qui le souhaitent, en dehors des classifications auxquelles nous sommes accoutumés (...). Qu'importe s'ils viennent de la gauche radicale, de la social-démocratie, de l'écologie, du courant démocrate ou du gaullisme social". "Et tant mieux s'ils viennent d'un arc le plus large, du Front de gauche au MoDem, tellement la volonté commune d'une République nouvelle doit savoir vaincre les vieilles timidités".

13:30 : Marine Le Pen a immédiatement fait appel de la décision de justice qui relaxe Eva Joly poursuivie en diffamation par la présidente du Front National. La candidate d'EELV avait déclaré la semaine dernière que Mme Le Pen "était l'héritière de son père milliardaire par un détournement de succession".

11:50 : Nicolas Sarkozy a ironisé sur "l'élégance" des personnalités ayant rejoint son gouvernement au nom de l'ouverture et qui viennent de se déclarer en faveur de la candidature de François Hollande, jeudi sur Europe 1. "La politique d'ouverture dans un pays éruptif comme la France est absolument nécessaire" mais "peut-être me suis-je trompé sur la colonne vertébrale et l'élégance de ces personnalités", a confié le président et candidat de l'UMP. Selon lui, "la leçon morale" à en tirer, "c'est d'être tolérant et de ne pas changer de conviction parce que des hommes et des femmes vous ont déçu".

11:35 : Le député PS Arnaud Montebourg a assuré jeudi que Nicolas Sarkozy, confronté à "un destin judiciaire", se bat "pour continuer à bénéficier de son immunité". Sur LCI, le troisième homme de la primaire socialiste a commenté les accusations récurrentes d'Eva Joly (EELV) contre le président-candidat sur les dossiers Karachi ou Bettencourt. "Ce ne sont pas des attaques, des accusations, ce sont des faits qui sont constatables dans les procédures judiciaires", a déclaré le député et président du conseil général de Saône-et-Loire. "Le destin de M. Sarkozy est un destin judiciaire car il est mis en cause dans de nombreux dossiers".

11:20 : Nicolas Sarkozy a affirmé jeudi sur Europe1 qu'il ne serait "pas choqué" par une publication des résultats du premier tour de l'élection présidentielle dimanche dès 18h30, comme envisage de le faire Libération. "Non, franchement, ça ne me choque pas, parce que le monde est devenu un village", a répondu le président candidat à une question sur ce sujet. "Ne recréons pas une ligne Maginot. Nous avons des règles qui parfois sont datées, tout le monde le sait, c'est une forme d'hypocrisie", a affirmé M. Sarkozy. 

11:15 : Jean-Marie Le Pen s'est moqué du meeting de Nicolas Sarkozy à la Concorde dimanche dernier : "j'ai cru, en regardant la place l'autre jour, que c'était Nuremberg", a déclaré le président d'honneur du Front National sur La Chaîne Parlementaire. "NS comme National Socialisme" lance-t-il, reprenant ironiquement les initiales de Nicolas Sarkozy.

11:00 :  Après la transhumance des troupeaux ovins, François Bayrou a comparé, sur RTL, la série de ralliements à la candidature de François Hollande à "une course de gnous vers les points d'eau" peuplés de "crocodiles". "J'aime les gens qui ne changent pas d'opinion au fur et à mesure que le vent tourne", a ajouté le député des Pyrénées Atlantiques en visant en particulier Corinne Lepage, qui fut une responsable du MoDem et qui "a abandonné au fur et à mesure tous les chemins qu'elle suivait".

10:45 : François Hollande a souligné jeudi avoir "un point commun" avec Jean-Luc Mélenchon : le refus du traité européen sur les disciplines budgétaires "tel qu'il a été signé en mars". "On peut regarder ce qui sous sépare, on peut regarder ce qui nous rapproche. J'ai été dans le même parti que Jean-Luc Mélenchon donc il y avait beaucoup de choses qui nous unissaient", a déclaré M. Hollande sur RMC et BFMTV.

10:30 : Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière (LO) à la présidentielle, a prédit jeudi dans un entretien à Libération une "grève générale" en septembre 2012, jugeant que la présidentielle "ne restera pas dans les livres d'histoire". "Les campagnes sont des moments politiques à utiliser. L'élection de 2012 ne restera pas dans les livres d'histoire. Au contraire de la grève générale de septembre 2012!", dit-elle. Pour la trotskiste, "on sent aujourd'hui une rage impuissante. L'état d'esprit est plus à accuser les coups qu'à en rendre. Mais il y aura des luttes".

10:10 : Le candidat socialiste à la présidentielle François Hollande affirme aujourd'hui qu'il ne formera pas de gouvernement "d'ouverture" s'il est élu en mai. "Je suis socialiste, je suis de gauche et je gouvernerai avec la gauche. Il n'y aura pas d'ouverture", a-t-il déclaré sur RMC et BFM TV. "Mon premier ministre sera socialiste", a-t-il précisé. S'il pense à quelques personnes qu'il pourrait nommer à Matignon en cas de victoire, le candidat socialiste a expliqué qu'il ne donnerait pas de nom entre les deux tours. Il a indiqué qu'il choisirait son premier ministre après le 6 mai et "si nécessaire, après les élections législatives" des 10 et 17 juin. Ce sont ces élections qui "vont déterminer la majorité politique", a-t-il souligné.

10:00 : Jean-Luc Mélenchon pense que les communistes ne veulent pas participer à un gouvernement avec François Hollande. Sur France 2, le candidat FG à l'Elysée a déclaré "c'est l'honnêteté qui nous retient. Nous avons développé un programme qui est différent de celui de François Hollande, c'est le moins qu'on puisse dire". "Entre quelqu'un qui dit il faut que le SMIC soit à 1.700 euros et quelqu'un qui dit : je vous donne 2,3 euros de plus, il y a quand même une petite différence, vous le voyez". "L'honnêteté commande d'être fidèle à soi-même", a insisté M. Mélenchon. "Je ne vois pas comment nous irions dans un gouvernement dans lequel François Hollande a dit son programme, c'est à prendre ou à laisser. Dans ces conditions, on laisse". 

09:35 : Brigitte Bardot qui soutien Marine Le Pen à l'élection présidentielle a affirmé dans une interview à Nice Matin avoir du "dégout" à l'égard de Nicolas Sarkozy. D'après elle, le président de la République l'aurait trahi sur la question des abattages rituels".

09:20 : Découvrez l'infographie sur les personnalités de gauche et de droite les plus en vues pour composer le prochain gouvernement.

08:50 : Invité d'Europe 1, Nicolas Sarkozy a critiqué la proposition de François Hollande de donner un coup de pouce au Smic. Il a qualifié cette proposition de "mensonge". D'après le candidat sortant, François Hollande veut augmenter le Smic de "13% des salariés" tout en augmentant les cotisations sociales de l'ensemble des actifs.

08:30 : Nathalie Kosciusko-Morizet, porte-parole de Nicolas Sarkozy, a qualifié mercredi de "happening pitoyable" le "Sarko-tour" organisé à Neuilly-sur-Seine par Eva Joly à destination de la presse. La candidate d'EELV a emmené mercredi les journalistes devant le domicile des Bettencourt à Neuilly-sur-Seine, ou devant l'ancien appartement du chef de l'Etat lors d'un "Sarko-tour" destiné à attaquer le président sortant sur le financement de sa campagne en 2007 ou les conditions de l'achat de son ancien appartement. "Si on peut comprendre qu'Eva Joly tente de détourner l'attention de la vacuité de son programme, on ne peut excuser que celle qui a été juge d'instruction bafoue sans retenue les principes essentiels du droit pénal, tels que l'exigence de ne pas proférer d'accusation sans preuve", écrit Nathalie Kosciusko-Morizet dans un communiqué. 

08:15 : Le candidat centriste à la présidentielle, François Bayrou, a promis mercredi soir à Lille que "le temps de la division" du centre "s'achevait" et qu'il allait "reconstruire le grand courant démocratique dont la France a besoin". "Je suis heureux de voir que le temps de la division s'achève, je suis heureux de voir que le temps de cette diaspora se termine et que ce qui a commencé une bonne fois pour toutes, c'est le temps de la reconstruction du grand courant démocratique dont la France a besoin pour résoudre ses problèmes", a déclaré le président du MoDem lors d'un meeting au Zénith, une salle de 3000 places. "Dans ce courant", il y aura "ceux qui viennent de toutes les familles du centre et ceux qui sont simplement des républicains", a souligné le député béarnais et ancien président de l'UDF.

08:05 : Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à l'Elysée, a ironisé contre cette polémique dans l'émission Questions d'info" LCP/Le Monde/AFP/France Info. "On peut faire une histoire de tout, par exemple j'ai peut-être rencontré E.T." ou "le Père Noël". Tout cela sert "d'abord Mme Le Pen (...) puis aussi tout le camp Hollande", selon lui. Son conseiller, Eric Coquerel, a estimé qu' "il y a des gens qui nous veulent du bien!", mais "on n'est pas naïf". "Un jour Buisson, le lendemain Assad et Guaino, on essaie de donner l'impression de liens avec un dictateur puis de rapports privilégiés de Jean-Luc Mélenchon avec Nicolas Sarkozy, c'est une manipulation", a-t-il ajouté, parlant de simples "rapports républicains" avec des conseillers du chef de l'Etat. De son côté, 

07:55: Avec des larmes et quelques pas de danse : c'est ainsi qu'Eva Joly a cloturé hier son dernier meeting, hier soir au cirque d'hiver. La candidate d'Europe-Ecologie-Les Verts, entourée de Daniel Cohn-Bendit et de Cécile Duflot, avait l'air visiblement soulagée de voir cette campagne très éprouvante pour elle se terminer. Alors que l'été dernier certains pariaient sur un score à deux chiffres, les sondages calamiteux la créditent toujours de 2 à 3% d'intentions de vote. 

07:30 : Alors que l’UMP est très agacée par les ralliements de certains anciens ministres, comme Fadela Amara et Martin Hirsch, à François Hollande, le candidat socialiste, lui, revient sur celui d’Eric Besson à Nicolas Sarkozy, en 2007. Un transfert qu’il n’a visiblement toujours pas digéré. «Nous le laisserons à son destin, triste destin! Destin de traître, ça vous poursuit toute votre vie. Je n'accepte pas la traîtrise, ceux qui sont partis sont partis.» 

07:15 : Jean-Luc Mélenchon et François Hollande, même combat ? C’est en tout cas ce qu’affirme ce matin le candidat du Front de Gauche dans une interview au quotidien économique Les Echos. Jean-Luc Mélenchon, qui appelle déjà à voter François Hollande au second tour, ironise sur les liens qui l’unissent au candidat socialiste : « On veut virer Sarkozy ! Cela fait un programme commun ! ».

07:00 : Rama Yade, l’ancienne secrétaire d’Etat de Nicolas Sarkozy qui a quitté l’UMP fin 2010, a du mal à encaisser les ralliements d’anciens ministres de Sarkozy à François Hollande. Dans les colonnes du Parisien ce matin, l’ex-ministre des Sports dénonce les comportements opportunistes de ses anciens collègues : « Quels opportunistes ! Si le PS était si formidable, pourquoi ces ralliés de la dernière heure n’ont-ils pas fait avec lui le RSA, la rénovation urbaine, le Grenelle de l’environnement… Ce qu’ils font est dégueulasse ! Cette façon de faire de la politique va dégoûter les Français, ils porteront sur ces gens-là un jugement très sévère. Quel projet rallient-ils ? A part l’antisarkozysme, Hollande n’en a aucun. Il avance masqué. »

 

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