Nous sommes saturés de messages et de possibilités grâce à la technologie. Nous sommes aussi de plus en plus exigeants envers ce que nous consommons, les autres et nous même. Tout cela, avec une appétence pour le risque de plus en plus basse. Cette explosion exponentielle de stimuli qui saturent notre cerveau rend la prise de décision de plus en plus difficile. Si l’on ajoute le fait que nous n’agissons plus par nécessité mais pour satisfaire des envies, il devient très compliqué de prioriser et de garder un cap. C’est là que le spécialiste, le coach, entre en scène. Nous allons nous concentrer sur le cas du coaching sportif pour restreindre le champ d’analyse mais la problématique de fond est la même dans tous les domaines de nos vies.
Les raisons d’une confusion mentale qui rend plus que jamais la motivation essentielle
L’hyper spécialisation et l’explosion des possibilités
L’humanité n’a cessé de se spécialiser au cours de l’histoire. Le langage, la mémoire et surtout notre exceptionnelle capacité d’abstraction nous ont permis de coopérer à grande échelle et de planifier. Nous nous sommes répartis les tâches de sorte que nous soyons plus efficaces chacun dans notre domaine. Nous offrons à la collectivité notre savoir faire en échange de monnaie. Monnaie qui est un extraordinaire moyen de valorisation de tout (souple, polyvalent et universel) n’en déplaise aux partisans d’un retour au troc.
Tout cela a entrainé un raffinement progressif de nos connaissances et de nos capacités. Aujourd’hui, leur richesse est telle qu’il devient très compliqué de comprendre les nombreux domaines que l’ont ne pratique pas, donc de prioriser et donc d’agir…
Nous sommes aussi de plus en plus subjugué par nos propres capacités. Les êtres humains du 21e siècle ont, à raison, une haute estime de leur conscience. En parallèle, La montée de l’individualisme et la perte de vitesse des religions expliquant simplement l’origine de cette conscience, nous fait craindre de plus en plus de voir notre magnifique et unique conscience s’éteindre…
Ce phénomène entraine une forme de paralysie. La peur de faire des choix qui pourraient amener à nous abimer, voire, à nous détruire, nous mène parfois à l’inaction. Cette inaction, si elle devient trop prégnante, devient oppressante, et il devient nécessaire de pouvoir se remettre en mouvement et de choisir des options intelligemment.
La disparition de la nécessité
Enfin, nous sommes aujourd’hui, en occident du moins, entrés dans une phase ou nos besoins vitaux sont assurés quelques soit nos actions. Quoique nous fassions, la société ne nous laissera pas mourrir. Nous vivrons inconfortablement si nous nous conduisons vraiment très mal, mais, nous vivrons. L’enjeu n’est donc plus la survie mais le bonheur (Cf étages 3 à 5 de la pyramide de Maslow). L’acception du bonheur relève d’interprétations personnelles (besoin de sens, de richesse, d’utilité etc…) et ce n’est pas notre sujet. Mais c’est bien l’objectif de l’occidental au 21e siècle.
Le simple fait de ne plus agir parce qu’on le doit mais parce qu’on le veut, crée là encore, une nouvelle pesanteur pour notre système décisionnel. Plus rien n’est priorisé simplement par la survie (trouver à manger, où dormir, se protéger, se reproduire pour survivre grâce à l’aide conférée par de nombreux enfants). Tout est affaire de choix ou de goûts.
Pourquoi la motivation plus que le savoir ?
Le coach plutôt que le professeur
Face à ce tableau mettant en avant notre ignorance et notre angoisse devant la somme de connaissance humaine, on pourrait penser que l’apprentissage est la clé de l’action raisonnée. Effectivement, il l’est. Mais il est long, il ne peut recouvrir la totalité des domaines connus et il faut, en attendant, vivre et décider.
C’est en cela que le coach intervient pour délivrer des solutions actionnables immédiatement pour prioriser et réaliser nos envies. Il est donc primordial, et de plus en plus, la complexification croissant avec le temps, d’apprendre. Mais nous avons de plus en plus besoin d’aide à la décision. Cette aide à la décision s’incarne dans le coach, qui ne va pas expliquer le « pourquoi ? » mais va se concentrer sur le "comment ?". Ce qui le rend moins complet mais plus agile que le professeur, qui lui, va commencer par le « pourquoi ? » (long et couteux) pour arriver au "comment ?".
On peut s’atermoyer sur un perte de la qualité de l’enseignement. Mais encore une fois, il n’est pas question de ne s’en remettre qu’a des coach et de ne plus rien apprendre. Il faut apprendre, bien sûr, tout ce que l’ont peut, de la façon la plus large possible pour garder une vision d’ensemble et une cohérence. Il faut aussi apprendre de façon pointue dans un domaine pour pouvoir avoir quelque chose à proposer à la société. Mais, malgré toute notre bonne volonté, nous seront amenés à avoir besoin de compétences que nous n’auront pas le temps de parfaitement maitriser. Et, à moins d’augmenter nos capacités par la technologie, ce mouvement va aller croissant.
Le coach sportif un vecteur de motivation de plus en plus recherché
Le sport n’échappe pas au raffinement, à la complexification et à l’augmentation du degré d’exigences. Les objectifs sportifs sont beaucoup plus divers et nombreux qu’il y a encore quelques années. Que ce soit pour réussir une compétition sportive ou un examen, retrouver la forme globalement ou spécifiquement, ou bien pour peaufiner des capacités physiques précises, il est de plus en plus nécessaire de réaliser le bon entraînement.
Le corps humain est une machine extrêmement complexe. Il réagit à d’innombrables signaux et possède des variables de départ propres à chaque individu. Sans une grande implication personnelle, qui en devient finalement professionnelle, il est quasiment impossible d’obtenir des résultats hors du commun. Et c’est précisément ce qui motive les clients qui font appel à des coachs sportifs. Réussir là ou les autres, et eux même jusque là, ont échoué.
C’est cette promesse de l’accessibilité d’un résultat inaccessible seul, à moins de passer sa vie à y travailler, qui attire, et de fait, motive les clients.
L’ultime obstacle à la réalisation du désir, le choix du coach !
De la même façon qu’il est très difficile de savoir quel exercice faire, comment le faire, combien de temps, à quelle intensité, etc… , il est compliqué de trouver la bonne personne pour nous coacher.
Dans ce cas là, il existe 2 possibilités :
- - Utiliser un outil pour choisir à l’aide de métriques.
- - Faire confiance à une expertise
UTILISER UN OUTIL, L’EXEMPLE DE COACH-HUNTER.COM
Coach Hunter est une plateforme qui permet de trouver son coach sportif en fonction de ses compétences et diplômes, de notre lieu de résidence et du prix que nous sommes prêts à mettre pour celui-ci.
A cela s’ajoute des métriques comme le taux ou le délais de réponse du coach, sa note et les avis clients qu’il a reçu. Enfin la qualité de la photo et de la rédaction de son profil permettent de se faire une bonne idée de l’état d’esprit du coach personnel.
Il existe donc des outils simples et accessible pour répondre à des choix simples. Qui choisir pour me guider dans cet océan de possibilité. Par contre pour des démarches complexes comme la création d’un programme d’entrainement, aucun outil ne sera capable de le faire comme un expert humain. Aucun algorithme n’a l’intelligence générale et transversale nécessaire.
FAIRE CONFIANCE À DES EXPERTS, L’EXEMPLE D’OWNSPORT.FR
Si vous ne vous faites pas confiance pour choisir le bon profil avec un outil, par manque de temps ou de compétences dans le domaine, vous pouvez passer par des agences de coaching sportif comme Ownsport qui ont de bonnes références facilement recoupables sur Google.
Leur métier est de sélectionner le meilleur coach pour vous en fonction des critères que vous aurez fourni. C’est leur expertise, il sont équipé pour et le résultat sera beaucoup plus précis et rapide pour eux que pour vous.
Enfin, vous pouvez faire confiance à l’expertise de proches qui ont un nom à vous donner car il a bien marché pour eux. Mais ce qui marche pour l’un ne marche pas forcément pour l’autre. Il faut alors avoir des objectifs sportifs similaires. Le proche n’est pas un expert et son avis est basé sur une expériences ou une poignée d’expérience trop peu nombreuse pour calibrer son jugement. Enfin, il est le sujet de son expérience ce qui rend son analyse extrêmement subjective.
Pour conclure sur le rôle de la motivation
Vous aurez bien compris que la motivation est vitale pour passer à l’action. Que ce passage à l’action est souvent paralysé par la complexité et la quantité de possibilités.
Il devient donc de plus en plus normal de se faire aider contre rémunération par des coachs experts dans leur domaine. Ces coachs deviennent vecteurs d’envie, de motivation et donc de réussites hors normes. Que ce soit pour le sport ou ailleurs, la capacité à motiver, et donc à mettre en mouvement dans la bonne direction à travers la complexité, vaut aujourd’hui de l’or !