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PSG : divorce, mise en examen pour viol… La femme d’Achraf Hakimi sort du silence

Achraf Hakimi et Hiba Abouk sont restés ensemble cinq ans et ont deux enfants. [PictureAlliance / Icon Sport]

Hiba Abouk, femme d’Achraf Hakimi, a parlé à la presse espagnole quelques semaines après la mise en examen pour viol du défenseur du PSG.

Une parole qui était attendue. Dans sa story Instagram, Hiba Abouk a confirmé sa séparation avec Achraf Hakimi. L’actrice hispano-tunisienne a également évoqué l’affaire du joueur marocain du Paris Saint-Germain mis en examen pour viol.

«Après avoir pris la décision de se séparer légalement et de cesser de vivre ensemble, en attendant la procédure de divorce, qui aurait imaginé qu’en plus d’affronter la douleur bien connue qu’entraîne une séparation, et d’accepter le chagrin que l’échec d’un projet entraîne, un proche à qui je m’étais donnée corps et âme, je devrais affronter cette ignominie», écrit celle qui a «eu besoin de temps pour digérer ce choc.»

Du côté des victimes

Concernant la mise en examen de son désormais ex-compagnon, Hiba Abouk, âgée de 35 ans, a indiqué que c’était «bien avant les événements dans lesquels j'ai été impliquée médiatiquement et dont je suis totalement éloignée».

Celle qui a eu deux enfants avec Achraf Hakimi (Amin, 3 ans et Naim, 13 mois) a tenu à respecter l’affaire et la justice mais a toutefois confié qu’elle était du côté «des victimes». «Il reste à faire confiance à la bonne conduite de la justice, surtout compte tenu de la gravité de l'accusation, lance-t-elle. Il va sans dire que dans ma vie j'ai toujours été et serai toujours du côté des victimes.»

Pour rappel, le 26 février dernier, une jeune femme s’est rendue au commissariat de Nogent-sur-Marne et a déclaré avoir été violée par le latéral parisien. La victime présumée (24 ans) n’a pas voulu porter plainte mais le commissariat a ouvert une enquête, avant que le parquet de Nanterre ne récupère le dossier en raison du lieu de commission supposé des faits.

La jeune femme a indiqué avoir rencontré le joueur via le réseau social Instagram, le 16 janvier dernier. Après un échange de messages, les deux se seraient rencontrés le 25 février, veille d’OM-PSG pour lequel Hakimi était forfait, au domicile du joueur à Boulogne-Billancourt. L’international marocain lui aurait embrassé la bouche et la poitrine sous les vêtements avant de lui imposer une pénétration digitale, alors qu'elle disait non.

L’avocate d’Achraf Hakimi, qui a été entendu par les enquêteurs début mars, a dénoncé des «fausses accusations».

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