À Paris, la maison des journalistes accueille des reporters en exil

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Venus du monde entier, dans des pays où la liberté de la presse n’existe pas, ils tentent de se reconstruire ici avec l’aide de bénévoles.

Créée en 2002, la maison des journalistes héberge des professionnels des médias en exil et les accompagne dans leurs démarches administratives. Un accueil nécessaire à l’heure où être journaliste peut coûter la vie, même en Europe.

En l’espace d’une année, trois journalistes ont péri après avoir révélé des informations compromettantes : la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia, le Slovaque Jan Kuciak et la bulgare Viktoria Marinova.

 

 

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